Un des panneaux installé sur la rue Justin

2020-10-29 - Quelle belle surprise à mon arrivée à la maison... Enfin, les employés de la ville avaient fait l'installation de nouveaux panneaux de signalisation encadrant le stationnement sur la rue Justin.  Du même coup, mettant fin, à près trois semaines d'ambiguïtés, de risques inutiles à la sécurité et de frustrations pour les résidents de la rue Justin.  Une rue qui se trouve dans les districts de l'Orée-des-bois et de Marc-Aurèle-Fortin dans ce que tout le monde appelle encore Fabreville.

Le Maire Marc Demers qui répond aux questions du public


Rappelons que dès le 6 octobre, à la période de questions du conseil de ville, frustré de la confusion installée et des travaux qui me semblent mal coordonnés, j'avais soulevé la problématique que le nouveau marquage amènerait. Voici deux textes publiés sur mon blogue : 

👉 https://bit.ly/2T83lPI  -  le vidéo de la période de question

👉 https://bit.ly/3jcEJzL  - réactions initiales à la période de question  

Nu été de la mobilisation citoyenne, que Michel St-Gelais et moi-même avons mené sur différents fronts, appuyés par d'autres résidents et par le Parti Action Laval, je ne crois pas que nous aurions pu mettre une fin à ce chapitre de  notre rue.

Mais où étaient donc les élus de l'Orée-des-bois (Yannick Langlois), de Marc-Aurèle-Fortin (Michel Trottier) et l'indépendant Michel Poissant?  
 

Tous trois avaient assisté à la période de questions… tous trois n'ont rien fait pour aider notre cause.  Je le répète, seul Action Laval représenté par Isabelle Tassoni, son attaché Peter Karampatos et le chef de cabinet Giulio Maturi nous ont accompagnés dans cette démarche à travers la bureaucratie du 311, des services et même du service de police.

Les voitures, tel qu'autorisées sur les panneaux, ont l'obligation de se garer à gauche de la double ligne blanche.
Comme on peut le voir avec la voiture qui circule, la ligne organge qui divise les deux travées n'est donc pas au « centre de l'espace disponible ».


Si le chapitre est terminé, c'est loin d'être la fin du roman.  Tout d'abord une certaine confusion demeure à proximité des intersections, où les lignes jaunes ne sont plus au centre des voies qui sont déportées à cause du stationnement.  Mais aussi, il manque une ligne de part et d'autre de la case de stationnement (celle du côté central).  Espérons que cela ne viendra pas occasionner d'autres incidents.  Je dis d'autres, puisqu'il y a eu au moins 3 « hit and run » pendant la période de 3 semaines.



Il y a aussi le volet des contraventions.  De ce que nous avons compris, seul un juge ou le service de police peut faire annuler une contravention.  Michel continuera de faire le suivi avec le service de police.  N'oubliez pas, vous devez payer ou enregistrer votre plaidoyer de contestation auprès de la cour municipale à l'intérieur des délais prescrits.  

Nous croyons que le fait que la ville a apporté un correctif à la signalisation, que la documentation (avis public) et le vidéo dans lequel le maire affirme que nous avions droit de stationner sont des raisons suffisantes pour que le juge annule les contraventions.  Toutefois, seul le juge a compétence en la matière.

En finale, je suis convaincu que tout comme moi, nous voulons assurer la sécurité et le retour à la quiétude de notre rue.  Jusqu'aux travaux de conservation de la chaussée (reporté à 2021), la configuration du stationnement actuelle et celle pour l'hiver sont un bon compromis, mais qu'en sera-t-il par la suite?  

Le maire a mentionné le retrait des avancés de trottoirs, une reconfiguration des pistes cyclables, mais quoi d'autre?  

Soyez assuré que je vais continuer à travailler le dossier pour faire toute la lumière.  Vous avez des questions?  N'hésitez pas à m'écrire à marc.patrick.roy@gmail.com ou encore, pourquoi ne pas acheminer, le 3 novembre prochain, jusqu'à 3 questions au conseil municipal?

Pour en savoir plus sur la procédure de la période de questions des citoyens, c'est ici :  👉  https://bit.ly/34JJ75i



QUÉBEC, le 30 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, M. Jonatan Julien, accompagné du ministre de l'Économie et de l'Innovation, M. Pierre Fitzgibbon, du ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, M. Benoit Charette, et de la ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre de l'Immigration, de la  Francisation et de l'Intégration, Mme Nadine Girault, a dévoilé le Plan québécois pour la valorisation des minéraux critiques et stratégiques 2020-2025 (PQVMCS), qui découle de la volonté du gouvernement de favoriser la prospérité des régions du Québec et la transition vers une économie plus sobre en carbone. Ce plan permettra la mise en place au Québec de chaînes de valeur de minéraux critiques et stratégiques (MCS) dans le respect des principes de développement durable, d'acceptabilité sociale et de création de richesse pour les régions, y compris les communautés locales et autochtones. 

La mise en œuvre de ce plan s'appuie sur un cadre financier de 90 M$, annoncé au Plan budgétaire 2020-2021 de mars dernier. Ce plan sera déployé en étroite collaboration avec les ministères, les organismes et les partenaires concernés.

Des minéraux essentiels et en forte demande : un potentiel à exploiter

On définit les minéraux critiques comme des substances essentielles pour des secteurs clés de l'économie, qui présentent un risque élevé en matière d'approvisionnement et n'ont pas de substituts disponibles commercialement. Les minéraux stratégiques sont des substances minérales nécessaires à la mise en œuvre des grandes politiques d'un État. Le Québec a établi une liste de 22 minéraux jugés critiques ou stratégiques. Parmi ces derniers, on trouve le lithium, le graphite et le nickel, pour ne nommer que ceux-là. Les MCS sont utilisés dans plusieurs sphères de la vie quotidienne et constituent un levier important pour notre économie et notre autonomie.

Une vision globale et des orientations gouvernementales

La vision proposée dans le Plan consiste à faire du Québec un chef de file de la production, de la transformation, de la valorisation et du recyclage des MCS, reconnu à l'échelle internationale pour son approche éthique et respectueuse des principes de développement durable. Cette vision ambitieuse permettra au Québec non seulement de tirer pleinement profit de son potentiel minéral et de son expertise en attirant des investisseurs au Québec, mais également d'encourager les entreprises d'ici à s'inscrire dans les différentes étapes de transformation et de recyclage des minéraux.

Des occasions d'affaires pour les régions de Montréal et Laval

La région de Montréal participe déjà à la production de MCS par ses usines de transformation de plusieurs métaux dont le cuivre, le platine, le palladium, le graphène, le tellure et le bismuth. La région se distingue aussi par le développement d'une technologie de recyclage de batteries lithium-ion. De plus, elle compte plusieurs centres de recherche et établissements qui peuvent contribuer au développement de MCS, dont Polytechnique Montréal, l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et l'Université McGill ainsi que le Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG).

Citations :

« C'est avec fierté et grand enthousiasme que nous dévoilons le Plan de valorisation des MCS du Québec. C'est comme partenaire fiable et éthique que le Québec contribuera activement aux transitions énergétique et technologique mondiales, par la création de richesse dans une économie plus verte. Aujourd'hui, nous lançons ce projet d'avenir qui nous permettra ensemble de créer plus de valeur chez nous, en valorisant nos ressources naturelles et notre expertise de manière responsable. Nous avons tout ce qu'il faut pour réussir dans ce secteur novateur et en demande croissante. »

Jonatan Julien, ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« Le Québec aspire à être un chef de file de la production, de la transformation et du recyclage des minéraux critiques et stratégiques. Les régions de Montréal et de Laval ont un rôle à jouer dans ce projet, dans cette vision et ces orientations. Un approvisionnement en MCS est indispensable pour les secteurs en croissance des énergies renouvelables, de l'électrification des transports et des technologies. Ce plan québécois contribuera à renforcer le positionnement du Québec et de sa Métropole. » 

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports, ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Le Plan s'inscrit dans l'approche intégrée de notre gouvernement pour électrifier l'économie du Québec et lutter contre les changements climatiques. Ainsi, le Plan québécois pour la valorisation des minéraux critiques et stratégiques est une excellente nouvelle. Le concept d'économie circulaire, par exemple le recyclage de produits contenant ces minéraux, est au cœur de ce plan. » 

Benoit Charette, ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques et ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :

  • Les minéraux critiques et stratégiques font partie du quotidien et se retrouvent dans plusieurs équipements et objets, par exemple : les appareils d'imagerie médicale, les batteries, les ordinateurs portables, les téléphones cellulaires et les véhicules électriques. 
  • Le Québec contribue déjà à fournir des minéraux stratégiques puisqu'il est un producteur de nickel, de niobium et de graphite et que des projets miniers sont en cours pour le lithium, le vanadium et les éléments des terres rares. 
  • Réalisé à l'hiver 2019-2020, un exercice de réflexion sur la place du Québec dans la mise en valeur des minéraux critiques et stratégiques a permis de recueillir différents points de vue, contribuant à l'élaboration de ce plan. Des acteurs et partenaires de la région de Montréal et des environs, concernés par le secteur minier, ont contribué à cette réflexion. 
  • Le secteur minier joue un rôle de premier plan dans l'économie du Québec avec plus de 30 000 emplois directs et indirects et 22 mines actives, principalement dans les régions de la Côte-Nord, du Nord-du-Québec et de l'Abitibi-Témiscamingue.

Liens connexes :

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/30/c0388.html


QUÉBEC
le 30 oct. 2020/CNW Telbec/ - Revenu Québec annonce que M. Antonio Accurso et quatre entreprises auxquelles il était associé ont été condamnés à des amendes totalisant près de 4,2 millions de dollars pour avoir participé à des stratagèmes de fraude fiscale.

La sentence a été prononcée ce matin au palais de justice de Laval. Les contrevenants ont un délai de 24 mois pour acquitter leurs amendes.

Les sociétés Simard Beaudry Construction inc., Constructions Louisbourg ltée, Construction Marton, filiale de Constructions Louisbourg ltée et Louisbourg Simard Beaudry Construction inc. ont reconnu avoir participé, entre le mois de mars 2005 et le mois de mars 2010, à un système de fausses factures produites par neuf sociétés coquilles. Ces fausses factures étaient entre autres produites pour des services fictifs de transport d'agrégats et des services spécialisés de transport en lien avec des contrats de construction prétendument exécutés par les sociétés coquilles.

Ces stratagèmes ont permis aux sociétés contrevenantes de demander indûment de faux remboursements de taxe sur les intrants (TVQ) pour un montant de 1 536 003,89 $ et de faux crédits de taxe sur les intrants (TPS) pour 567 151,37 $.

Un autre volet de l'enquête a permis d'établir que la société Louisbourg Simard Beaudry Construction inc. a acquitté des factures pour des services et des dépenses de nature personnelle au bénéfice de M. Antonio Accurso. La société a ainsi demandé indûment, dans une déclaration de revenus des sociétés, des dépenses au bénéfice de M. Accurso pour des montants totalisant 1 434 418,39 $.

L'enquête a également établi que M. Accurso a omis d'inclure, dans le calcul de son revenu imposable pour les années 2005 à 2009, un montant de 7 234 775 $. Il a ainsi éludé le paiement d'un impôt d'au moins 1 300 000 $. Ces omissions étaient constituées de sommes facturées aux sociétés Simard Beaudry Construction inc., Constructions Louisbourg ltée, Construction Marton, filiale de Constructions Louisbourg ltée et Louisbourg Simard Beaudry Construction inc. et payées par celles-ci pour des travaux de construction, de rénovation ou de décoration réalisés à sa résidence personnelle ou pour l'achat de biens à usage personnel.

Le détail des condamnations est présenté dans le tableau suivant.

Nom

Sentence

Antonio Accurso

Amendes totalisant 1 909 575,85 $

Le contrevenant a plaidé coupable à deux chefs d'accusation. Il a admis avoir fait, entre le 17 avril 2006 et le 29 avril 2010, des déclarations fausses ou trompeuses, ou participé, consenti ou acquiescé à leur énonciation dans des formulaires de déclaration de revenus produits à Revenu Québec.

De plus, en tant que cadre de Simard Beaudry Construction inc., Constructions Louisbourg ltée et Louisbourg Simard Beaudry Construction inc., il a également été partie à des infractions à la Loi sur la taxe d'accise commises par ces dernières, qui ont indûment demandé, entre le 31 juillet 2005 et le 1er mai 2010, des crédits de taxe sur les intrants de 567 151,37 $.

Simard Beaudry Construction inc.

Amendes totalisant 1 404 726,55 $

La société contrevenante a plaidé coupable à deux chefs d'accusation. Elle a reconnu avoir fait des déclarations fausses ou trompeuses dans des rapports produits en vertu de l'article 468 de la Loi sur la taxe de vente du Québec et en vertu de l'article 238 de la Loi sur la taxe d'accise. Les gestes ont été commis entre le 31 juillet 2005 et le 2 décembre 2008.

Constructions Louisbourg ltée et Construction Marton (filiale)

Amendes totalisant 447 813,79 $

La société contrevenante a plaidé coupable à quatre chefs d'accusation. Elle a reconnu avoir fait des déclarations fausses ou trompeuses dans des rapports produits en vertu de l'article 468 de la Loi sur la taxe de vente du Québec et en vertu de l'article 238 de la Loi sur la taxe d'accise. Les gestes ont été commis entre le 30 octobre 2005 et le 30 décembre 2008. Elle a reconnu avoir commis des infractions semblables sous le nom de Construction Marton entre le 4 décembre 2005 et le 1er novembre 2008.

Louisbourg Simard Beaudry Construction inc.

Amendes totalisant 412 016,74 $

La société contrevenante a plaidé coupable à trois chefs d'accusation. Elle a reconnu avoir fait des déclarations fausses ou trompeuses dans des rapports produits en vertu de l'article 468 de la Loi sur la taxe de vente du Québec et en vertu de l'article 238 de la Loi sur la taxe d'accise. Les gestes ont été commis entre le 1er octobre 2008 et le 1er mai 2010. De plus, elle a admis avoir fait des déclarations fausses ou trompeuses dans un formulaire de déclaration de revenus des sociétés produit à Revenu Québec en vertu de la Loi sur les impôts. Le geste a été commis le ou vers le 28 juillet 2011.

Ces condamnations découlent d'une enquête de Revenu Québec visant des stratagèmes de fraude fiscale, réalisée avec la collaboration de l'Unité permanente anticorruption (UPAC).

Ces condamnations rappellent que Revenu Québec est un acteur important dans la lutte gouvernementale contre la criminalité économique et la fraude fiscale. C'est la raison pour laquelle il déploie énormément d'efforts pour les contrer.

La pleine récupération par le Québec des revenus fiscaux qui lui sont dus représente une priorité pour Revenu Québec. Il s'agit d'une question d'équité pour tous les citoyens et les entreprises qui s'acquittent de leurs obligations.

JUSTE. POUR TOUS.

Revenu Québec a pour mission de s'assurer que chacun paie sa juste part du financement des services publics. Son objectif est de maintenir l'équité fiscale dans l'intérêt de tous.

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/30/c7957.html


Garanti sans virus. www.avg.com

QUÉBEC, le 30 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Pour soutenir la persévérance scolaire et la réussite éducative, le gouvernement du Québec, par le biais des Instances régionales de concertation (IRC), accordera un soutien financier de 41 millions de dollars réparti sur les trois prochaines années financières, soit de 2020-2021 à 2022-2023. Le ministre de l'Éducation, M. Jean-François Roberge, en a fait l'annonce aujourd'hui. Pour l'occasion, il était accompagné de Mme Andrée Mayer-Périard, présidente du Réseau québécois pour la réussite éducative.

Depuis 2015-2016, le ministère de l'Éducation accorde annuellement son appui aux IRC, par l'intermédiaire du Réseau québécois pour la réussite éducative. Ce dernier soutient ses membres dans leur mission et les mobilise dans la réalisation d'actions collectives afin de contribuer à l'accroissement de la diplomation et de la qualification des jeunes.

Nouveauté dès cette année, non seulement l'aide financière est bonifiée, elle est également accordée sur trois ans pour permettre aux IRC une meilleure planification à long terme. Ainsi, celles-ci seront mieux outillées pour répondre aux besoins de leur clientèle de façon continue et pour faire la promotion de la persévérance scolaire et de la réussite éducative.

Rappelons également que les IRC sont présentes dans toutes les régions du Québec. Elles ont pour mission de mobiliser les acteurs régionaux et de développer des partenariats locaux dans la promotion des conditions de réussite éducative, entre autres, en faisant la mise en valeur de la lecture. La mission ainsi que la structure de chaque IRC sont uniques. Elles sont adaptées aux défis particuliers de la région dans laquelle elles évoluent. Dans le contexte actuel de la pandémie où les besoins sont encore plus grands, cette aide contribuera grandement à accompagner tous nos jeunes vers la réussite.

Citations :

« Il est primordial de favoriser la persévérance et la réussite scolaires chez les élèves dès le plus jeune âge. Nous mettons également tout en œuvre pour favoriser l'égalité des chances de réussite éducative chez les élèves les plus vulnérables, surtout en contexte de pandémie. Parce que leur réussite, c'est notre réussite à tous, le gouvernement du Québec est heureux de confirmer son engagement financier pour les trois prochaines années. Grâce aux sommes annoncées, nous réitérons notre appui et notre confiance aux Instances régionales de concertation. Celles-ci pourront poursuivre leur mission à long terme à l'échelle locale et régionale et même démarrer de nouveaux projets. Nous saluons également leurs actions concrètes qui permettent à un plus grand nombre d'élèves d'obtenir le soutien nécessaire à leur réussite, tout en contrant le décrochage scolaire. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation

« Nous sommes très fiers de cette entente avec le gouvernement du Québec. Le soutien financier, maintenant garanti pour une période de trois ans, va permettre aux IRC de notre réseau de mener des initiatives qui auront encore plus d'impact sur la réussite éducative. Alors que la COVID-19 aura des répercussions sur le cheminement des jeunes au-delà de l'année scolaire en cours, nous croyons que cette annonce nous permettra d'agir à court et moyen terme au bénéfice de tous les jeunes, dont les plus vulnérables. Par cette entente, le gouvernement reconnaît que les parcours de réussite et de persévérance de nos jeunes sont ancrés dans leur territoire et que ce sont les partenaires de chaque région qui sont les plus à même de soutenir les actions concertées les plus efficaces pour leurs jeunes et leurs familles. »

Andrée Mayer-Périard, présidente du Réseau québécois pour la réussite éducative

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/30/c8319.html

LAVAL, QC, le 29 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Le ministère des Transports informe les usagers de la route de la mise en place, le 1er novembre 2020, de mesures préventives sur le pont de l'île Bélair qui enjambe la rivière des Mille Îles, dans l'axe de la route 117 (boulevard Labelle), à Rosemère.

Mesures préventives sur le pont de l'île Bélair - Détour pour les véhicules routiers de plus de 5 tonnes (Groupe CNW/Ministère des Transports)

À compter du 1er novembre 2020

Pont de l'île Bélair, dans l'axe de la route 117 (boulevard Labelle)

  • Restriction de charge à 5 tonnes pour tous les véhicules routiers; 
  • Fermeture de la voie de gauche dans chaque direction; 
  • Réduction de la limite de vitesse à 50 km/h sur le pont.

Ces mesures seront en vigueur pour une période indéterminée. Les véhicules de plus de 5 tonnes devront dorénavant emprunter un détour balisé via l'autoroute 15.

La mise en place de ces mesures nécessitera la fermeture complète du pont dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre, de 20 h 30 à 9 h. 

À noter que l'état du pont ne compromet en rien la sécurité des usagers. Ces mesures sont préventives, mais nécessaires afin d'assurer l'intégrité de l'infrastructure routière. Enfin, rappelons qu'un projet de reconstruction du pont est en cours de préparation.

Le Ministère remercie les usagers de la route pour leur collaboration. Afin de planifier adéquatement vos déplacements, informez-vous sur les entraves en cours et à venir en consultant le Québec 511. Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel. 

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Cision Consulter le contenu original pour télécharger le multimédia : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/29/c1103.html


QUÉBEC, le 28 oct. 2020 /CNW Telbec/ - L'Université TÉLUQ, en collaboration avec le ministère de l'Enseignement supérieur, présentera en mode virtuel le colloque Numérique 2020 | Journées du numérique en enseignement supérieur les 2 et 3 novembre prochains. Le concours des Trophées du numérique viendra enrichir le colloque en mettant en lumière les meilleurs projets utilisant le numérique en éducation et la créativité de leurs concepteurs et gestionnaires.

Visuel de l'événement Numérique 2020 (Groupe CNW/Université TÉLUQ)

Au cours de ces deux journées, plus de 60 conférenciers du Québec et d'ailleurs animeront des conférences, des tables rondes et des ateliers devant plus de 1 000 participants venant de partout au Canada et de l'étranger. Dans un contexte accéléré de transformation des modes d'enseignement, ce colloque offrira un lieu de partage et d'échange inédit entre tous les experts du milieu, qu'ils soient issus de l'enseignement supérieur ou de l'industrie du numérique. Tous seront réunis : professeurs, chercheurs, tuteurs, chargés d'encadrement, conseillers pédagogiques et technopédagogiques, mais également hauts dirigeants, gestionnaires, experts et stratèges numériques. 

« Pionnière de la formation à distance, l'Université TÉLUQ est heureuse de présenter ce colloque. Tous ensemble, nous échangerons sur les grandes tendances et celles, plus émergentes, du numérique en éducation. Ce dialogue nous permettra de mieux cerner son intégration dans les pratiques actuelles et surtout, d'appréhender son impact sur la transformation des établissements d'enseignement », déclare Lucie Laflamme, directrice générale de l'Université TÉLUQ.

Le colloque est organisé par le professeur Serge Gérin-Lajoie, spécialiste en formation à distance, en formation en ligne et en technologie éducative à l'Université TÉLUQ.

« Le contexte sanitaire de la COVID-19 a projeté à l'avant-scène la formation à distance. À cet égard, le monde de l'enseignement au Québec a relevé le défi, et continue de le faire, que ce soit dans les façons d'enseigner, de collaborer et de gérer les établissements d'enseignement. Nous profiterons donc de l'occasion pour alimenter nos réflexions et pousser plus loin l'analyse et le partage de nos pratiques pédagogiques et voir comment le numérique peut nous aider à les améliorer ».

L'accès au colloque Numérique 2020 et aux Trophées du numérique est gratuit. Tous les contenus seront disponibles tant en français qu'en anglais. L'inscription à l'un ou l'autre de ces événements est obligatoire pour les participants sur le site numerique2020.teluq.ca.

L'Université TÉLUQ
Créée en 1972 et composante du réseau de l'Université du Québec, l'Université TÉLUQ est le seul établissement d'enseignement universitaire francophone en Amérique du Nord qui se consacre à la formation à distance. Pionnière et leader de ce mode de formation, elle offre plus de 100 programmes et 400 cours aux premier, deuxième et troisième cycles. Par son accessibilité au savoir, l'Université TÉLUQ permet chaque année à quelque 18 000 étudiants de conjuguer les études universitaires avec leurs projets personnels et professionnels. 

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QUÉBEC, le 29 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Dans le but de favoriser la réussite scolaire des élèves dans le contexte de la pandémie, le gouvernement du Québec ajoute trois journées de formation et de planification au calendrier scolaire pour l'année scolaire 2020-2021. Le ministre de l'Éducation, M. Jean-François Roberge, en a fait l'annonce aujourd'hui. 

Cette modification apportée au Régime pédagogique de l'éducation préscolaire, de l'enseignement primaire et de l'enseignement secondaire permettra plus particulièrement de consacrer trois journées d'enrichissement professionnel aux équipes-écoles. Il s'agit d'une occasion pour le personnel scolaire de se perfectionner en ce qui concerne les nouveaux modes d'enseignement, d'acquérir de nouvelles compétences en lien avec les outils technopédagogiques et l'enseignement à distance, de favoriser le partage des bonnes pratiques et de mieux planifier les mois à venir dans un contexte où les services éducatifs à distance font partie intégrante du paysage pédagogique actuel. Cette nouvelle mesure permettra également aux équipes de peaufiner l'encadrement offert à chacun des élèves tout au long de l'année. 

Nous avons pleine confiance dans l'expertise et le jugement des équipes-écoles, qui sauront assurément tirer le meilleur de ces journées de formation. Les centres de services scolaires et les écoles auront toute la flexibilité nécessaire pour planifier ces journées au moment de leur choix dans l'horaire et en fonction de leurs réalités respectives.

Afin d'éviter de pénaliser les parents, le service de garde, pour ces trois jours, sera offert gratuitement à tous les enfants d'âge préscolaire et primaire qui y sont habituellement inscrits. 

Ces trois journées devront obligatoirement :

  • se dérouler entre le 29 octobre 2020 et la fin de l'année scolaire 2020-2021; 
  • ne pas se dérouler à raison de plus d'une journée par mois.

Rappelons que l'état de situation de la propagation du virus de la COVID a récemment amené le gouvernement du Québec à prendre des mesures supplémentaires afin de préciser les conditions d'enseignement devant être appliquées en contexte scolaire. Entre autres, l'année scolaire est divisée en deux étapes plutôt que trois et le réseau scolaire doit recourir à l'enseignement à distance, ce qui constitue un défi de taille pour lequel davantage de préparation et d'accompagnement sont nécessaires. 

Citation :

« Depuis le début de la pandémie, les membres du personnel scolaire ont fait preuve d'un grand professionnalisme afin d'offrir un encadrement pédagogique de qualité et sécuritaire à tous les élèves du Québec. Dans ce contexte inhabituel, je tiens à souligner leurs efforts soutenus ainsi que leur grande autonomie professionnelle. Grâce à ces trois journées de formation et de planification supplémentaires, le personnel scolaire pourra bénéficier d'une formation continue, ce qui favorisera la réussite scolaire de tous les élèves. » 

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation 

Lien connexe : 

Québec.ca/éducation   

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/29/c2691.html

QUÉBEC, le 27 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Dans le cadre de la grande mobilisation entourant la nouvelle gouvernance scolaire, l'appel de candidatures lancé par le gouvernement du Québec auprès des parents, des membres du personnel scolaire et des citoyens a été entendu. Le ministre de l'Éducation, M. Jean-François Roberge, félicite et remercie tous les nouveaux membres des conseils d'administration des centres de services scolaires (CSS) du Québec.

La mise en place des conseils d'administration dans les centres de services scolaires constitue l'aboutissement de la nouvelle gouvernance scolaire, qui a été instaurée pour rapprocher la prise de décision le plus près possible des élèves et des personnes directement impliquées auprès d'eux, toujours dans le meilleur intérêt de ceux-ci. Les nouveaux administrateurs assureront une saine gestion des fonds publics, tout en veillant à ce que les établissements bénéficient des conditions optimales pour la réalisation de leur mission éducative.

Chaque membre bénéficiera d'une formation de haut niveau portant sur les pratiques guidant une bonne gouvernance. Il est primordial que tous puissent avoir une compréhension commune de leur rôle et de leurs responsabilités ainsi que de la vision et de la culture du réseau scolaire, élément essentiel pour assurer une prise de décisions cohérente au bénéfice des élèves. La formation portera principalement sur les éléments suivants :

  • les principes généraux en matière de saine gouvernance;
  • les encadrements budgétaires et les règles contractuelles;
  • les pouvoirs et les fonctions;
  • le rôle des trois comités en assistance au CA;
  • le rôle du président ou de la présidente et du directeur général ou de la directrice générale.

Citation :

« Je tiens à remercier personnellement toutes les personnes qui ont posé leur candidature et je félicite les nouveaux membres des conseils d'administration. Grâce à votre engagement et à votre implication, les élèves pourront compter sur une gouvernance scolaire de proximité, moins bureaucratique et, surtout, centrée sur leurs besoins et sur leur réussite. La nouvelle gouvernance, c'est vous! C'est maintenant à votre tour de participer activement aux prochains succès de votre centre de services scolaire et de toutes les écoles de votre territoire. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation

Faits saillants :

  • Les conseils d'administration des différents centres de services scolaires sont en fonction depuis le 15 octobre dernier et la première séance devait se tenir avant le 23 octobre.
  • 2 321 établissements sont soutenus par les centres de services scolaires francophones.
  • Un minimum de quatre séances par année scolaire est prévu au calendrier pour les membres du conseil d'administration. Il faut toutefois prévoir un nombre supérieur de rencontres selon les centres de services scolaires et la participation à certains comités.

Lien connexe :

Pour tout savoir sur la nouvelle gouvernance scolaire :
Québec.ca/nouvellegouvernancescolaire

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2020/27/c0045.html


MONTRÉAL, le 27 oct. 2020 /CNW Telbec/ - Dans la foulée des travaux d'élaboration auxquels ont participé plus de 1 200 intervenants, l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) dépose aujourd'hui, pour consultation publique, son projet de Plan stratégique de développement (PSD) du transport collectif de la région métropolitaine, le premier plan du genre au Québec.

Ce projet est le résultat de la concertation, au cours des trois dernières années, du milieu du transport, des élus et de nombreux citoyens. « Tout en tenant compte de la présente pandémie et des incertitudes qu'elle entraîne, le moment est venu de mettre au point, collectivement, une vision d'avenir du transport collectif et du transport adapté, sur un territoire où vit la moitié de la population du Québec » a déclaré Benoît Gendron, directeur général de l'ARTM.

« Le plan propose une amélioration des services de transport collectif à l'échelle métropolitaine, à partir d'une vision intégrée basée sur les besoins de la population. L'amélioration de la qualité de vie et de l'environnement ainsi que la vitalité économique sont au cœur de cette vision », a ajouté M. Gendron. 

Afin que tous s'investissent vers un horizon commun, une vision soutenue et active sur un horizon de 30 ans, le projet de PSD propose de convenir des stratégies et des actions à entreprendre. Pour planifier les dix prochaines années, il faut aussi porter le regard au-delà des effets de la pandémie puisqu'il y a toujours urgence d'agir pour répondre aux défis environnementaux tout en assurant la vitalité économique et sociale de la collectivité métropolitaine.

Les objectifs du projet de PSD visent à répondre aux orientations du Plan métropolitain d'aménagement et de développement (PMAD) de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) et de la Politique de mobilité durable du Québec. En voici les principaux :

  • Hausser à 35 % la part du transport collectif en pointe du matin d'ici 2031 à 2035, par rapport à 25 % présentement ;
  • Augmenter l'offre de service de 60 % au cours des 10 prochaines années ;
  • Favoriser un transfert des automobilistes vers les modes de transport collectif et actif en vue de réduire de 14 % les déplacements en auto pour la même période.

Le plan est construit autour de trois orientations qui se déclinent en six stratégies afin de :

  • Relier les différentes communautés de la région métropolitaine à l'aide de services performants articulés autour du développement du Réseau de transport collectif structurant (RTCS), des services locaux et de l'aménagement du territoire ;
  • Déployer des options de mobilité diversifiées offrant une expérience simplifiée et attrayante en se basant sur l'évolution des besoins, l'intégration des innovations et l'amélioration des services existants en complémentarité avec les modes actifs et le covoiturage ;
  • Favoriser une utilisation efficiente des ressources tout en renforçant la résilience du système.

De grands projets sont déjà en cours, plusieurs études sont également bien avancées grâce au Plan des initiatives de développement du transport collectif 2018-2021 (PIDTC) initié en 2018, au Plan québécois des infrastructures 2020-2030 (PQI), et à la Proposition d'actions priorisées en transport collectif 2020-2023 déposée au gouvernement du Québec en mai 2020.

En plus de ces projets d'infrastructures, le projet de PSD propose des programmes qui soutiennent des actions visant :

  • Le développement de l'offre de service, de son confort et de sa fiabilité ;
  • Le développement de l'accessibilité universelle et du transport adapté ;
  • L'amélioration de l'information et des modes de paiement ;
  • Le développement des modes actifs et du covoiturage ;
  • Le maintien, l'amélioration et le développement des actifs du transport collectif ;
  • L'ajustement des équipements aux changements climatiques ;
  • La poursuite de l'électrification du transport collectif.

CITATIONS

« Plus que jamais, notre gouvernement veut améliorer la mobilité dans la région métropolitaine, et cela se traduit par des actions concertées en transport collectif. Avec la relance économique et le projet de loi 66, nous voulons accélérer la réalisation de certains projets structurants, qui sont attendus par la population. Je me réjouis que, pour la première fois, les citoyens de la région métropolitaine soient invités à participer à cet exercice de consultation. » - Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Ces vastes consultations sont un exercice sans précédent. Chères citoyennes, chers citoyens, vous avez une occasion unique de venir exprimer vos attentes, votre vision de ce que doit être le transport collectif, et ce, pour les 30 prochaines années. C'est le moment de vous faire entendre et je compte sur vous pour y participer. » - Chantal Deschamps, mairesse de la Ville de Repentigny, représentante de la couronne nord au conseil d'administration de l'ARTM et présidente du comité de la consultation publique

« Dans le PSD, nous nous sommes fixé un objectif ambitieux d'augmenter la part modale du transport collectif à 35 %. En plus d'accroître la mobilité durable et de réduire la congestion routière sur l'ensemble du territoire de la CMM, l'atteinte de cet objectif permettra de réduire considérablement nos émissions de GES. » - Marc Demers, maire de la Ville de Laval

« C'est le début des consultations publiques du plan stratégique de développement de la région métropolitaine et j'espère que vous y participerez en grand nombre, afin que le transport collectif de l'avenir puisse déplacer toujours plus de monde, plus rapidement. » - Valérie Plante, mairesse de Montréal et présidente de la CMM

« L'amélioration de la qualité de vie des citoyens passe, entre autres, par une nette réduction de la congestion routière et par une bonification substantielle de l'offre en transport collectif, ce que le PSD de l'ARTM s'engage à mettre de l'avant dans les prochaines années. La fluidité a des impacts positifs : elle favorise le développement économique et social tout en consolidant le tissu urbain. C'est pourquoi j'en fais ma priorité. J'invite fortement la population de l'agglomération de Longueuil à participer en grand nombre à cette consultation publique afin que l'on puisse collectivement définir la mobilité de demain ! » - Sylvie Parent, mairesse de Longueuil

« La couronne sud connait un développement important et la contribution des citoyens à la consultation publique sur l'avenir du transport collectif dans la région métropolitaine est absolument essentielle. La participation des utilisateurs du transport adapté à ce processus démocratique est tout aussi importante. J'invite les citoyennes et les citoyens à participer en grand nombre et à partager leur vision. » - Martin Damphousse, maire de Varennes et représentant de la couronne sud au conseil d'administration de l'ARTM

PUSIEURS FAÇON DE PARTICIPER

L'information sur le projet de PSD est disponible sur le site www.repensonslamobilite.quebec où il est également possible de transmettre un mémoire, des commentaires, un point de vue ou des propositions, en plus de s'exprimer directement sur les sujets proposés par l'ARTM.

En novembre, les citoyens seront également invités à participer à l'une des quatre rencontres d'information en webdiffusion, au cours desquelles sera présenté le projet de PSD. Ces séances seront suivies par une plénière citoyenne où questions et commentaires seront bienvenus :

  • Le mardi 10 novembre, à 19 h
  • Le mercredi 11 novembre, à 19 h
  • Le lundi 16 novembre, à 14 h
  • Le mardi 17 novembre, à 19 h

L'appel de mémoires se terminera le 14 décembre 2020 et les séances d'audition se tiendront entre le 13 et le 26 janvier 2021, en présence de Mme Chantal Deschamps, mairesse de Repentigny, qui a accepté de présider l'exercice, et de M. Pierre Shedleur et Mme Diane Marleau, respectivement président et vice-présidente du conseil d'administration de l'ARTM.

L'ARTM sera accompagnée dans ce processus par l'Institut du Nouveau Monde, qui animera les rencontres et rédigera le rapport de consultation. L'ARTM a pour objectif de déposer le PSD au conseil d'administration en mars 2021.

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L'Autorité régionale de transport métropolitain a été créée par le projet de loi 76, qui a modifié la gouvernance du transport collectif dans la grande région métropolitaine de Montréal. Dans une perspective de développement durable et de cohésion régionale, l'Autorité régionale de transport métropolitain planifie, organise, finance et fait la promotion du transport collectif et du transport adapté dans la région métropolitaine de Montréal, afin d'offrir une expérience de mobilité simple, intégrée, fluide et efficace. Elle élabore à cette fin un plan stratégique de développement, une politique de financement, un cadre tarifaire et des ententes de services qui encadrent le développement, l'organisation et le financement de ces services. Pour ce faire, l'Autorité travaille à mobiliser les forces vives du milieu des transports collectifs autour d'une vision unifiée.

SOURCE Autorité régionale de transport métropolitain

CONTACT: Information aux médias, Simon Charbonneau, Conseiller - affaires publiques et relations médias, ARTM, 514 409-2786, poste 7408, scharbonneau@artm.quebec