QUÉBEC, le 31 mars 2021 /CNW Telbec/ - L'Assemblée nationale a adopté aujourd'hui une motion créant une commission spéciale. Cette commission traitera des enjeux reliés à l'élargissement de l'aide médicale à mourir pour les personnes en situation d'inaptitude et celles souffrant de problèmes de santé mentale. 

Cette commission multipartite sera composée de onze membres. Le comité directeur sera constitué d'une présidente ou d'un président, issu du groupe parlementaire formant le gouvernement, d'une vice-présidente ou d'un vice-président, issu du groupe formant l'opposition officielle, d'une ou d'un membre du deuxième groupe d'opposition et d'une ou d'un membre du troisième groupe d'opposition. 

Au cours de son mandat, la Commission spéciale sur l'évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie procédera à des consultations particulières et à des auditions publiques. Elle entendra, dans ce cadre, les avis d'expertes et experts et toute personne dont le comité directeur estimera le témoignage pertinent. 

La Commission doit déposer son rapport au plus tard le 19 novembre 2021.  

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/31/c8566.html


QUÉBEC, le 31 mars 2021 /CNW Telbec/ - Dans le cadre des négociations qui visent le renouvellement des conventions collectives de plus de 550 000 employées et employés du secteur public ainsi que des réseaux de la santé et des services sociaux de même que de l'éducation, la ministre responsable de l'Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel, a procédé, aujourd'hui, à un troisième dépôt des offres gouvernementales, en cohérence avec les engagements qui ont toujours été pris.

Un an jour pour jour après l'échéance de la convention collective en vigueur, ce dépôt comporte plusieurs avancées considérables depuis la présentation des dernières offres patronales, soit en mai 2020. Ces avancées concernent particulièrement les priorités du gouvernement à l'égard des préposées et préposés aux bénéficiaires, des infirmières et infirmiers, des enseignantes et enseignants du primaire et du secondaire ainsi que des intervenantes et intervenants en centres jeunesse.

Cette proposition, qui pourrait atteindre 4,1 milliards de dollars sur trois ans, permettra donc aux négociations de franchir une nouvelle étape en vue d'arriver le plus rapidement possible à des ententes. 

Comme cela a été le cas, lors des dépôts précédents, le détail des propositions sera rendu public prochainement, afin de permettre aux différentes organisations syndicales de présenter les offres patronales à leurs membres.

Citation : 

« Le gouvernement livre ce qu'il a toujours promis et est cohérent avec les engagements qu'il a pris depuis des années. Pour la première fois, dans le cadre de ses négociations, le gouvernement consacre des montants propres aux enjeux sectoriels. C'est majeur et sans précédent. Qu'ils soient du côté patronal ou syndical, les acteurs engagés dans cette négociation partagent le même objectif : celui de garantir les meilleurs soins et services, la disponibilité des ressources et la qualité de l'enseignement. Je tiens à souligner que les corps d'emplois que nous avons priorisés, dans le cadre des présentes négociations, sont majoritairement féminins. Nous voulons améliorer les conditions de travail des femmes de façon substantielle, et ce dépôt en est la preuve. Avec ce troisième dépôt, pouvant aller jusqu'à 4,1 milliards de dollars, malgré la situation budgétaire du Québec, nous sommes convaincus que nous posons un geste concret et, surtout, équilibré qui démontre clairement notre volonté d'en arriver rapidement à des ententes sur le renouvellement des conventions collectives. »

Sonia LeBelministre responsable de l'Administration gouvernementale 
et présidente du Conseil du trésor

Sommaire des propositions : 

Salaires :

  • Maintien des offres totalisant 3,3 milliards de dollars, dont une proposition d'augmentation de 5 % sur trois ans (1,75 %, 1,75 % et 1,5 %), soit supérieure à l'inflation, malgré le déficit de 15 milliards de dollars; 
  • Majoration salariale récurrente pouvant atteindre 400 millions de dollars si l'inflation dépasse 5 % et si la croissance économique prévue par le gouvernement est au rendez-vous; 
  • Somme forfaitaire supplémentaire de 400 millions de dollars pour l'ensemble du personnel; 
  • Augmentation salariale supérieure pour le personnel dont la rémunération annuelle est inférieure à 50 000 $.

Infirmières et infirmiers :

  • Équivalence d'une force de travail supplémentaire de 3 500 ETC déployés dans le réseau : 
    • Ajout de 1 500 ETC, 
    • Augmentation de postes et d'incitatifs pour les emplois à temps complet, 
    • Augmentation du nombre d'heures rémunérées; 
  • Bonification de primes pour les quarts de travail de soir, de nuit et de fin de semaine; 
  • Réduction du recours aux agences de placement.

Préposées et préposés aux bénéficiaires :

  • Ajout de 10 000 postes; 
  • Pour le personnel à temps complet en CHSLD, rémunération de 26 $ de l'heure, soit 49 000 $ par année; 
  • Nouvelle prime et création d'un poste de chef d'équipe en CHSLD; 
  • Garantie de poste avec un minimum de jours travaillés.

Enseignantes et enseignants du primaire et du secondaire :

  • Augmentation substantielle du salaire pour ceux qui sont en début de carrière; 
  • Mise en place de mesures favorisant la réussite éducative : accroissement de l'autonomie dans l'exercice de la profession et retrait de la surveillance des récréations en faveur de la tâche d'enseignement; 
  • D'autres mesures sont proposées, mais en raison du contexte particulier des négociations à huis clos, convenu avec les syndicats, ce dépôt ne peut en faire mention.

Protection de la jeunesse et centres jeunesse :

  • Ajout de 500 ETC; 
  • Augmentation de postes à temps complet et du nombre d'heures rémunérées; 
  • Nouvelle prime particulière pour les intervenantes et intervenants en centres jeunesse (3,5 %); 
  • Bonification de primes; 
  • Garantie de poste avec un minimum de jours travaillés. 

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/31/c1715.html


QUÉBEC, le 31 mars 2021 /CNW Telbec/ - Le premier ministre du Québec, François Legault, a annoncé que, compte tenu de la hausse importante de nouveaux cas dans certaines régions du Québec, des mesures exceptionnelles doivent être mises en place afin de freiner la propagation du virus, accélérée par les variants.

À partir de demain 1er avril à 20 h, les régions du Bas-Saint-Laurent, de la Capitale-Nationale, de la Chaudière-Appalaches et de l'Outaouais repasseront au palier d'alerte maximale (zone rouge).

De plus, comme la situation s'est dégradée particulièrement rapidement dans la Communauté métropolitaine de Québec (y compris Lévis) et dans la ville de Gatineauet la MRC des Collines-de-l'Outaouais, des mesures spéciales d'urgences'appliqueront dans ces secteurs dès le 1er avril à 20 h, et ce, jusqu'au lundi 12 avril à 5 h. « À Québec, Lévis et à Gatineau, le nombre de cas est en train d'exploser. Ça veut dire que, dans quelques jours, il y a des gens qui commenceront à être hospitalisés en soins intensifs. Il faut agir rapidement », a expliqué le premier ministre. 

Ces mesures sanitaires exceptionnelles, semblables à celles qui étaient en vigueur après la période des Fêtes, sont nécessaires afin de limiter au maximum les contacts non nécessaires entre les personnes. Parmi les mesures spéciales d'urgence qui devront être appliquées dans la Communauté métropolitaine de Québec (y compris Lévis) et dans la ville de Gatineau et la MRC des Collines-de-l'Outaouais, mentionnons notamment :

  • le couvre-feu en vigueur de 20 h à 5 h; 
  • la fermeture des écoles primaires et secondaires (apprentissages en ligne); 
  • la fermeture des cinémas, des salles de spectacle et des musées; 
  • la fermeture des restaurants (sauf pour livraison et comptoirs pour emporter); 
  • la fermeture des commerces non essentiels; 
  • l'interdiction pour les commerces de vendre des produits non essentiels; 
  • la limite de 25 personnes dans les lieux de culte; 
  • les activités extérieures de sport ou de loisirs permises uniquement avec les personnes résidant à la même adresse ou par un groupe de 8 personnes avec distanciation.

Citations : 

« L'alarme a sonné. Là, il faut vraiment qu'on arrête toutes les petites exceptions. Avec les variants, le nombre de cas peut exploser en quelques jours. Une explosion de cas, ça peut arriver partout au Québec. On pense que tout est tranquille, que tout va bien, mais en quelques jours ça explose. Il faut que tout le monde en prenne conscience. De notre côté, on suit la situation d'heure en heure avec les médecins de la santé publique. On se tient prêt à agir vite et fort si la situation s'aggrave ailleurs au Québec. Pensons à nos enfants qu'on veut voir à l'école. Pensons à nos infirmières qui sont au front depuis un an. Soyons solidaires. Je vous en prie, soyez très prudents. »

François Legault, premier ministre du Québec

« On a réussi à retarder l'arrivée au Québec de la troisième vague, mais les variants sont encore plus contagieux et se répandent rapidement dans plusieurs milieux, et en particulier dans les écoles. En quelques jours, la situation épidémiologique peut changer énormément, on le constate plus que jamais. Je suis persuadé qu'on peut contenir la propagation en attendant que la vaccination dans la population générale s'accélère, mais il faut que tout le monde y mette du sien et respecte les consignes à la lettre. » 

Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux 

Faits saillants :

Notons que les services de garde éducatifsà l'enfance et scolaires demeurent ouverts, mais qu'il est demandé aux parents qui le peuvent de garder les enfants à la maison. Le télétravail demeure obligatoire pour tous, à l'exception des employés dont la présence est essentielle à la poursuite des activités de l'entreprise, de l'organisme ou de l'administration publique.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur le coronavirus et les mesures mises en place : Québec.ca/coronavirus.

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/31/c6797.html

QUÉBEC, le 31 mars 2021 /CNW Telbec/ - Excellente nouvelle pour la relance du tourisme d'affaires à Québec! Le Centre des congrès de Québec et l'Université Laval sont heureux d'annoncer la tenue du 5e Congrès mondial d'agroforesterie (WCA5), une première au Canada! Plus de 1 000 experts en agroforesterie et agriculteurs du monde entier sont attendus dans la capitale du 17 au 20 juillet 2022. Leur présence devrait générer 2 900 nuitées dans les hôtels de Québec et des retombées économiques estimées à 1,5 M$. C'est à l'unanimité que le conseil d'administration de l'International Union of Agroforestry (IUAF) et de la World Agroforestry (ICRAF) a retenu la candidature de Québec pour accueillir la 5e édition du congrès. Les précédents congrès ont eu lieu aux États-Unis (2004), Kenya (2009), Inde (2014) et France (2019).

La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FGGG) et la Faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation (FSAA) de l'Université Laval joindront leurs forces pour organiser ce congrès de classe mondiale et mettre en œuvre un programme stimulant et rassembleur. Deux membres du Cercle des ambassadeurs de Québec, soit la doyenne de la FGGG, Nancy Gélinas, et Alain Olivier, professeur au Département de phytologie de la FSAA et titulaire de la Chaire en développement international, ont piloté avec succès le dossier de candidature et coprésideront le comité organisateur du WCA5. Le congrès se déroulera principalement en présentiel, avec un volet virtuel afin de rejoindre ceux et celles qui ne pourront se déplacer.

« M. Olivier et moi-même sommes heureux et fiers d'accueillir ce congrès, qui représente une opportunité pour un dialogue ouvert et inclusif entre différents acteurs mondiaux en agroforesterie, qu'ils soient producteurs, conseillers, décideurs politiques ou représentants du gouvernement, de la société civile ou du secteur privé. Ce sera l'occasion de créer ou de solidifier des liens entre la recherche, la prise de décisions politiques et l'application sur le terrain par le biais d'un partage de connaissances pour une transition vers une planète unifiée et en santé. Nous espérons ainsi que le Québec et le Canada se positionnent comme des leaders mondiaux en agroforesterie. » Nancy Gélinas, doyenne de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique

« Quelle bonne nouvelle et quel signe encourageant pour le tourisme d'affaires à Québec. Notre destination congrès se distingue encore une fois à l'international grâce à l'implication de personnes d'influence et à la force de nos secteurs d'excellence, malgré le contexte de la pandémie. En plus d'accroître le rayonnement des acteurs-clés du Québec dans le domaine de l'agroforesterie, ce congrès aura un impact économique d'importance pour la capitale et stimulera l'industrie touristique. Je remercie nos deux ambassadeurs ainsi que leurs collaborateurs de l'Université Laval pour leur remarquable contribution. » Pierre-Michel Bouchard, président directeur général du Centre des congrès de Québec.

À propos du Centre des congrès de Québec

Ayant pour mission de solliciter la venue de congrès et d'événements d'envergure, le Centre des congrès de Québec génère par ses activités plus de 100 M$ en retombées économiques annuellement pour Québec, tout en contribuant au rayonnement de la capitale, de ses industries clés et de sa communauté scientifique. Certifié LEED-CI et BE, et AIPC Quality Gold Standards, la plus haute certification de l'industrie, nommé Meilleur palais des congrès au monde (AIPC) en 2006 et finaliste en 2014, le Centre des congrès se distingue par ses hauts standards de gestion, le savoir-faire d'une équipe tout sauf conventionnelle et l'excellence de son service à la clientèle.

Consultez le communiqué en ligne

 Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/31/c6566.html

QUÉBEC, le 30 mars 2021 /CNW Telbec/ - La ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration et ministre responsable des Laurentides, Nadine Girault, et le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Claude Meisch, ont signé aujourd'hui une entente dans les domaines de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation.

Cette entente prévoit la mise sur pied d'un groupe de travail mixte Québec-Luxembourg responsable de la coordination et du suivi des activités de coopération dans les domaines d'intérêt commun. L'entente favorisera les collaborations scientifiques et novatrices entre les deux écosystèmes de recherche et d'innovation.

En signant cette première entente internationale gouvernementale conjointe, les ministres souhaitent promouvoir les collaborations de recherche, les échanges de chercheurs ainsi que la collaboration dans le domaine de l'enseignement supérieur entre les institutions du Québec et du Luxembourg, qui voient, tous deux, les investissements en recherche et développement comme un moteur important d'accroissement de la richesse collective.

Au cours des dernières années, les liens en enseignement supérieur et en recherche et innovation n'ont cessé de croître, comme en témoignent l'entente récente entre le Fonds National de la Recherche du Luxembourg (FNR) et les Fonds de recherche du Québec (FRQ), ou encore les différentes missions scientifiques réalisées de part et d'autre de l'Atlantique. Le Québec et le Luxembourg partagent plusieurs secteurs prioritaires, comme l'intelligence artificielle, la transformation numérique, la science des données, la santé ou les minéraux rares et stratégiques.  Cette entente s'adresse aux étudiants, aux professionnels, aux enseignants et chercheurs universitaires et de centres de recherche.

Le Luxembourg et le Québec sont des sociétés modernes, progressistes et ouvertes sur le monde. Aussi, en tant que membres de l'Organisation internationale de la Francophonie, ils constituent des partenaires stratégiques dans le monde francophone.

Citations :

« La coopération entre le Québec et le Luxembourg dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche et innovation s'est fortement intensifiée au cours des dernières années. Je suis heureuse de signer cette entente qui, renforcera les échanges dont bénéficient nos deux sociétés. J'aimerais également souligner l'excellent travail de la Délégation générale à Bruxelles, qui a grandement contribué au développement de nos relations avec le Luxembourg. »

Nadine Girault, ministre des Relations internationales et de la Francophonie, ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration et ministre responsable des Laurentides

« Je me réjouis de la signature de cette convention, qui fait du Québec un de nos partenaires privilégiés dans le domaine de l'enseignement supérieur et de la recherche et constitue un cadre dans lequel les collaborations entre les institutions de recherche luxembourgeoises et québécoises pourront continuer à se développer et à s'intensifier ».

Claude Meisch, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche

Faits saillants :

  • Le Québec et le Luxembourg ont convenu de prioriser, entre autres, les domaines suivants : la santé (incluant la médecine numérique), les technologies de l'information, l'intelligence artificielle, les sciences économiques et l'éducation.
  • L'entente prévoit la création d'un groupe de travail mixte Québec - Luxembourg responsable de la coordination et du suivi des activités de coopération dans les domaines d'intérêt commun.
  • Deux autres ententes entre le Luxembourg et le Québec sont actuellement en négociation, soit une en mobilité étudiante - qui est un renouvellement - et une autre en matière de culture.

Liens connexes :

Pour en savoir plus sur les activités du ministère des Relations internationales et de la Francophonie et de ses 33 représentations dans 18 pays, suivez-nous dans les médias sociaux :

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Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/30/c3312.html


QUÉBEC, le 30 mars 2021 /CNW Telbec/ - Le bilan des projets financés à la suite du premier appel à projets du Programme de restauration et de création de milieux humides et hydriques est maintenant disponible. Doté d'une enveloppe totale de 30 M$ sur trois ans, ce programme vise à restaurer des milieux humides et hydriques ou à en créer de nouveaux pour compenser les pertes qui n'ont pu être évitées.

C'est ce qu'a annoncé ce mardi le ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval, M. Benoit Charette.

À ce jour, plus de 320 000 $ ont été versés pour soutenir la réalisation d'études de préfaisabilité de projets de restauration et de création de milieux humides et hydriques, et près de 125 000 $ ont été octroyés afin de soutenir la réalisation de tels projets.

Projets financés dans le cadre du volet 1 (études de préfaisabilité) :

  • Restauration d'un milieu humide disparu en raison de remblais à l'ouest de la rue Debussy, Ville de Laval
  • Étude de restauration d'un méandre du cours d'eau Hazen (Bleury) pour permettre le retour des processus hydrogéomorphologiques à Saint-Jean-sur-Richelieu, Nature-Action Québec
  • Restauration d'un marécage et création d'un marais à proximité du centre de plein air de Brossard (Bioparc), Ville de Brossard
  • Étude de préfaisabilité technique pour le réaménagement d'une section du ruisseau de la Barbotte permettant le retour des processus hydrogéomorphologiques à Saint-Jean-sur-Richelieu, COVABAR - OBV Richelieu/zone Saint-Laurent
  • Restauration du couvert végétal d'une tourbière ombrotrophe à Pont-Rouge, Corporation du bassin de la Jacques-Cartier (CBJC)
  • Restauration et création de milieux humides et hydriques du bassin versant du ruisseau des Frères, Ville de Saint-Bruno-de-Montarville
  • Travaux d'amélioration, d'aménagement et de mise en valeur de l'étang principal du parc du Grand-Croteau à Mascouche, MRC Les Moulins
  • Étude de préfaisabilité pour l'aménagement d'étangs permanents à la ferme des Ruisseaux à Lévis, Conseil de bassin de la rivière Etchemin
  • Évaluation du potentiel de restauration d'un complexe de milieux humides et hydriques localisé dans le secteur Chaudière dans l'agglomération de Québec, Organisme des bassins versants de la Capitale
  • Restauration de la tête du cours d'eau Diotte et de ses milieux humides à Saint-Joseph-du-Lac, Guertin inc.
  • Amélioration du potentiel apicole par la création de milieux humides et hydriques, Ville de Lévis
  • Déplacement et réaménagement du ruisseau de la concession Saint-Denis, Ville de Lévis
  • Étude de préfaisabilité pour la restauration d'un tronçon de la rivière Neigette ainsi que d'un milieu humide à Saint-Mathieu-de-Rioux, MRC Les Basques
  • Étude de préfaisabilité pour la restauration et la création de milieux humides d'un tronçon de la rivière Centrale à Notre-Dame-des-Neiges, MRC Les Basques
  • Planification de la restauration de milieux humides et hydriques visés par une mise en réserve naturelle sur le territoire de la ville de Québec, Agiro
  • Réalisation de l'étude de préfaisabilité d'un projet de restauration des milieux humides situés dans la partie nord du parc du Lac-Beauchamp, Ville de Gatineau
  • Étude de préfaisabilité pour la restauration de l'espace de bon fonctionnement de la rivière du Cap Rouge et de milieux humides riverains associés à la Ville de Québec, Organisme des bassins versants de la Capitale

Projets financés dans le cadre du volet 2 (projets de restauration et de création) :

  • Restauration d'un milieu humide d'une valeur exceptionnelle à Tingwick dans la MRC Arthabaska, Agence forestière des Bois-Francs
  • Amélioration d'un milieu humide perturbé : remouillage de la section nord de la tourbière de Cacouna, Premier Horticulture ltée
  • Restauration de rive et de plaine inondable dans une section du ruisseau Lallemand, Ville de Lévis

Citation :

« Les milieux humides et hydriques représentent les mailles essentielles de la trame des milieux naturels du territoire québécois. Ils jouent un rôle crucial dans le maintien de nos écosystèmes au même titre que les terres agricoles et les forêts. En plus de créer et de restaurer des milieux humides et hydriques, nous nous donnons les moyens de développer une expertise québécoise dans le domaine. Le principe d'aucune perte nette doit être au cœur de toute démarche, et c'est pourquoi les pertes inévitables seront compensées par des mesures de conservation, en priorisant la restauration de milieux dégradés ou la création de nouveaux milieux. Je suis fier de constater qu'il y a autant d'engouement au Québec pour la conservation de ces milieux. » 

Benoit Charette, ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, ministre responsable de la Lutte contre le racisme et ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :

  • Le financement de ce programme provient des contributions financières versées au Fonds de protection de l'environnement et du domaine hydrique de l'État entre le 16 juin 2017, moment où est entrée en vigueur la Loi concernant la conservation des milieux humides et hydriques, et le 31 décembre 2018.
  • Un deuxième appel à projets a débuté le 22 mars 2021 et est ouvert jusqu'à minuit, le 3 mai 2021.
  • La mise en œuvre du programme constitue l'une des obligations fixées dans la Loi affirmant le caractère collectif des ressources en eau et favorisant une meilleure gouvernance de l'eau et des milieux associés.
  • Ce programme contribue aussi à l'atteinte de l'une des cibles de la Stratégie québécoise de l'eau 2018-2030, soit celle visant à conserver et à restaurer les milieux aquatiques.

Liens connexes :

Pour s'informer sur le Programme de restauration et de création de milieux humides et hydriques : www.environnement.gouv.qc.ca/programmes/prcmhh/index.htm.

Pour s'informer sur la conservation des milieux humides et hydriques :

www.environnement.gouv.qc.ca/eau/milieux-humides/loi.htm
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SOURCE Cabinet du ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques

CONTACT: Geneviève Richard, Attachée de presse, Cabinet du ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, 418 952-6352 ; Information : Relations avec les médias, Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, 418 521-3991

QUÉBEC, le 18 mars 2021 /CNW Telbec/ - Dans la foulée de l'annonce du passage de quelques régions en zone jaune, la ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, a précisé aujourd'hui les directives de la Direction générale de la santé publique relatives à la pratique d'activités sportives et récréatives propres à ce palier d'alerte. Ces nouvelles mesures entreront en vigueur au même moment que le passage des régions en zone jaune, soit le 26 mars.

En zone jaune, la limite du nombre de personnes pouvant participer à une même activité sportive extérieure est fixée à douze. Les contacts étroits, de courte durée et peu fréquents seront permis entre les participants. À partir du 26 mars, des matches pourront donc être disputés à l'extérieur pour les sports d'équipe, toujours en minimisant les contacts.

Toujours à compter du 26 mars, les activités intérieures sans contact pourront être pratiquées également par les occupants d'une même résidence privée ou par un maximum de douze personnes avec encadrement obligatoire dans tous les lieux publics.

De plus, à partir du 26 mars 2021, en zone jaune, les activités parascolaires avec des élèves venant de classes différentes seront permises. À l'extérieur, des activités avec contacts brefs pourront être pratiquées avec un maximum de douze élèves. À l'intérieur, les activités parascolaires sans contact pourront aussi être pratiquées avec un maximum de douze élèves. La pratique doit être adaptée afin de respecter la distanciation de deux mètres en tout temps.

Dans tous les cas et dans le respect des consignes, les mises en situation de compétition seront permises en zone jaune lors des entraînements.

Encadrement et respect des mesures sanitaires

Il est à noter que la pratique de toute activité de loisir et de sport de groupe à l'intérieur doit être obligatoirement encadrée par une personne responsable du respect des mesures sanitaires en vigueur. Comme c'est le cas pour les zones rouge et orange, si l'activité est organisée par une association ou un club, les mesures appliquées doivent respecter le protocole de reprise des activités de la fédération ou de l'organisme concerné.

Enfin, qu'elles soient extérieures ou intérieures, les activités devront se dérouler en l'absence de spectateurs.

Citation :

« L'annonce d'aujourd'hui réjouit la citoyenne, l'athlète et la mère en moi. Le passage de certaines régions en zone jaune permettra aux jeunes et moins jeunes de pratiquer des activités de loisir et de sport dans un contexte qui se rapproche davantage de la normale. J'invite toute la population québécoise à ne pas relâcher, à poursuivre ses efforts; nos efforts collectifs jumelés à la vaccination massive nous permettront de retourner à la vie normale. Notre objectif final est à notre portée, c'est le moment de tout donner. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

Faits saillants :

  • La pratique de loisirs et de sports dans un contexte collégial et universitaire devra se dérouler dans le respect des directives propres au palier d'alerte de la région dans lequel l'établissement d'enseignement supérieur est situé. 

Liens connexes :

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/18/c8240.html

QUÉBEC, le 15 mars 2021 /CNW Telbec/ - Un système étroit de surveillance est instauré et une veille internationale spécifique est effectuée en lien avec la situation du vaccin d'AstraZeneca, tant au Québec qu'au Canada. La population est invitée à se faire vacciner dès que cela sera possible, selon l'ordre de priorité des groupes de population établi.

Les premières informations disponibles suggèrent qu'il n'y aurait pas de lien de causalité direct entre l'administration du vaccin et certains problèmes de coagulation répertoriés. Pour l'instant, rien n'indique que ces troubles, qui ne figurent pas sur la liste d'effets secondaires du vaccin, sont attribuables à ce dernier. Le nombre de manifestations thromboemboliques signalé en Europe n'est d'ailleurs pas supérieur à celui observé dans la population générale. Les pays européens ayant suspendu l'administration du vaccin d'AstraZeneca l'ont fait par mesure de précaution.

Il est important de souligner que le lot faisant l'objet de l'enquête européenne en cours n'a pas été expédié au Canada. Si jamais des informations confirmées permettent de croire que le vaccin d'AstraZeneca présente plus de risques qu'un autre, des mesures appropriées seront prises rapidement.

Réitérons que le Québec a toujours accordé une importance capitale à la sécurité des vaccins. Tous les vaccins contre la COVID-19, même s'ils ont été développés et homologués en mode accéléré, ont été soumis aux mêmes normes de qualité et de sécurité que tout autre vaccin utilisé au Canada. Toutes les étapes requises par Santé Canada pour l'homologation des vaccins ont été respectées et chaque signalement d'effet indésirable inhabituel est examiné par des experts afin d'identifier rapidement tout problème de sécurité. Le Québec dispose d'un système de surveillance de la sécurité vaccinale très performant et d'une excellente expertise en la matière. Chaque signalement est étudié en profondeur.

Soulignons que, jusqu'à maintenant, aucun incident lié au vaccin d'AstraZeneca n'a été déclaré au Canada.

Faits saillants :

Dans la situation épidémiologique actuelle, la Santé publique considère que toutes les doses disponibles des vaccins approuvés par Santé Canada devraient être utilisées sans délai. Ces derniers sont tous sécuritaires et efficaces pour prévenir les formes graves de la COVID-19, de même que les hospitalisations et les décès.

Soulignons que les personnes ne peuvent pas choisir quel vaccin leur sera administré. Il sera déterminé en fonction des doses disponibles, et selon la recommandation des experts.

Lien connexe :

Pour en savoir plus sur l'opération de vaccination contre la COVID-19 : Québec.ca/vaccinCOVID.

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2021/15/c5518.html

QUÉBEC, le 15 mars 2021 /CNW Telbec/ - Pour assurer la cohérence et la continuité entre la maternelle 4 ans et la maternelle 5 ans et ainsi favoriser le développement de tous les enfants, dont ceux en situation de vulnérabilité, un nouveau programme-cycle de l'éducation préscolaire a été élaboré. Le ministre de l'Éducation, M. Jean-François Roberge, en fait l'annonce aujourd'hui. Ce programme-cycle sera implanté dans toutes les écoles dès la rentrée 2021.

Ce nouveau programme-cycle de l'éducation préscolaire est le fruit d'une collaboration avec de nombreux partenaires du réseau scolaire et du milieu universitaire. Il vise à favoriser le développement global de tous les enfants et à mettre en œuvre des interventions préventives pour répondre à leurs besoins. Il offre à tous des chances égales de se développer dans les différents domaines pour faciliter leur passage vers la 1re année et leur apprentissage tout au long de la vie. Trois axes sont privilégiés : le jeu, l'observation du cheminement de l'enfant et l'organisation de la classe.

Le programme permet également d'agir en collaboration avec les familles, les services de garde éducatifs à l'enfance, les services éducatifs complémentaires et les services sociaux pour assurer une cohérence et une continuité des interventions. Ce programme vise l'atteinte de deux objectifs :

  • Favoriser le développement global

Favoriser le développement global des enfants, c'est leur permettre de se développer dans tous les domaines en même temps (physique et moteur; affectif; social; langagier; cognitif). C'est leur offrir un milieu de vie sécurisant, bienveillant et inclusif, leur permettre de cultiver le plaisir d'explorer, de découvrir et d'apprendre. 

  • Mettre en œuvre des interventions préventives (universelles et ciblées)

Mettre en œuvre des mesures préventives consiste à porter un regard attentif sur chaque enfant afin de soutenir son développement selon sa maturité, son rythme et ses besoins. C'est offrir à tous les élèves des activités spécifiques et régulières afin de favoriser leur réussite scolaire ou encore des interventions additionnelles aux enfants qui pourraient avoir des besoins éducatifs particuliers par les enseignantes et les enseignants ou par le personnel de soutien et le personnel professionnel.  

Maternelle 4 ans

La plus récente Enquête québécoise sur le développement des enfants à la maternelle nous rappelle qu'un nombre encore trop important d'enfants arrivent au primaire en présentant des vulnérabilités dans au moins un domaine de développement, une situation qui s'est détériorée entre la première enquête de 2012 et celle de 2017. C'est pourquoi le gouvernement poursuit le déploiement de la maternelle 4 ans afin d'offrir un véritable libre choix aux parents, peu importe le milieu socioéconomique dans lequel ils vivent. Les parents qui souhaitent inscrire leur enfant à la maternelle 4 ans peuvent, dès maintenant, s'adresser à leur centre de services scolaire.

Citations :

« Après plusieurs mois de travail concerté, je suis très fier de dévoiler le nouveau programme-cycle de l'éducation préscolaire. C'est une excellente nouvelle, car il était attendu depuis longtemps. Je suis particulièrement fier de tous les efforts déployés et de la collaboration entre les différents partenaires du réseau scolaire et du milieu universitaire. C'est en travaillant ensemble et en agissant tôt que nous pourrons enraciner des bases solides et offrir à nos tout-petits une chance équitable de se développer, d'atteindre leur plein potentiel et de vivre une transition positive vers la 1re année, dans un milieu bienveillant. Nous sommes convaincus que notre programme de l'éducation préscolaire est la meilleure approche pour ce faire, et une vaste majorité d'intervenants et d'organisations partagent cet avis! »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation

« Tous les parents doivent se réjouir de ce nouveau programme. Il va permettre à tous les enfants qui fréquentent la maternelle d'apprendre par le jeu et d'arriver mieux préparés en première année. Pourquoi? Parce que ce programme s'appuie sur les connaissances scientifiques les plus robustes et les plus actuelles, et qu'il est équilibré : on maintient une approche globale, tout en ajoutant un volet préventif. Les enfants du Québec ont besoin que les adultes collaborent ensemble, selon leurs différents rôles et leurs compétences respectives, à leur développement, à leur apprentissage et à leur épanouissement. »

Monique Brodeur, doyenne de la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université du Québec à Montréal de 2009 à 2019 et présidente du Comité du suivi de l'implantation du cycle d'éducation préscolaire (CSICEP)

Faits saillants :

  • L'élaboration de ce nouveau programme a franchi de nombreuses étapes, dont une mise à l'essai dans plusieurs écoles du Québec entre 2018 et 2020.
  • La démarche a également permis de recueillir les avis des partenaires du réseau scolaire et de la communauté scientifique quant à la pertinence, à la cohérence et à l'applicabilité du programme. Ce dernier a reçu l'appui d'importants acteurs du milieu qui ont cosigné une lettre ouverte, dont les ordres professionnels concernés, de nombreux chercheurs et des syndicats d'enseignants.
  • Le ministère de l'Éducation offrira des formations dès le printemps prochain pour accompagner le réseau scolaire dans le processus d'implantation de ce nouveau programme.
  • Une plateforme numérique, interactive et dynamique sera également rendue disponible ce printemps pour que tous les acteurs qui gravitent autour des enfants de l'éducation préscolaire puissent bien s'approprier le programme.

Liens connexes :

 

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MONTRÉAL, le 15 mars 2021 /CNW Telbec/ - Le premier ministre du CanadaJustin Trudeau, et le premier ministre du Québec, François Legault, ont annoncé lundi un investissement de près de 100 millions de dollars, à parts égales, à Lion Électrique, pour l'établissement d'une usine d'assemblage de blocs-batteries hautement automatisée à Saint-Jérôme, dans les Laurentides. Ce projet, évalué à près de 185 millions de dollars, créera 135 emplois lorsque la construction de l'usine sera terminée, en 2023. Il est aussi prévu que 150 emplois supplémentaires soient créés à plus long terme.

Pour l'annonce, MM. Trudeau et Legault étaient accompagnés du ministre de l'Innovation, des Sciences et de l'Industrie, François-Philippe Champagne, du ministre de l'Économie et de l'Innovation, Pierre Fitzgibbon, et de Marc Bédard, le président fondateur de Lion Électrique.

Les blocs-batteries assemblés à la nouvelle usine seront destinés aux véhicules de Lion Électrique. Cet investissement stratégique lui permettra d'améliorer sa structure de coûts et de mieux contrôler le design et la forme de ses batteries, ce qui la rendra plus compétitive sur le marché des véhicules lourds électriques. À terme, l'entreprise pourrait ainsi augmenter le volume de sa production de véhicules. Lion Électrique sera le premier constructeur canadien de véhicules moyens et lourds à se doter d'installations de fabrication de blocs-batteries automatisés, à la fine pointe de la technologie. 

L'entreprise établira aussi un centre d'innovation axé sur la recherche et le développement au sein de son usine de fabrication, ce qui lui permettra de mettre à l'essai et de perfectionner des produits en vue d'utilisations futures, comme des batteries pour des véhicules d'urgence tels que des ambulances. L'entreprise y testera des innovations issues de la recherche et du développement, notamment la capacité d'entreposage d'énergie et le rendement des batteries. Les résultats rendront ces produits plus compétitifs sur le marché nord-américain.

Citations

« Avec l'annonce d'aujourd'hui, nous continuons de prendre des mesures pour soutenir nos entreprises canadiennes, investir dans l'innovation et protéger l'environnement. C'est grâce à des entreprises comme Lion Électrique que nous accélérons notre transition vers une économie résiliente, compétitive et axée sur la croissance propre. »

Justin Trudeau, premier ministre du Canada

« Avec Lion, et plusieurs autres entreprises, le Québec est en train de se bâtir une expertise en transport électrique. C'est une preuve de plus qu'on a le savoir-faire pour produire des batteries. Notre gouvernement est prêt à investir pour positionner le Québec du bon côté de l'histoire en économie. Nous sommes prêts à prendre des risques pour que nos entreprises deviennent des champions dans des secteurs porteurs. Nous sommes en train de bâtir une nouvelle économie encore plus performante; une nouvelle économie où le Québec sera un leader. L'économie d'un Québec plus vert, plus prospère et surtout, plus fier. »

François Legault, premier ministre du Québec 

« Synonyme d'innovation et d'audace entrepreneuriale, Lion est un acteur essentiel dans le cheminement du Canada vers un avenir axé sur la croissance verte et durable.  Les investissements comme celui d'aujourd'hui favorisent non seulement la création de bons emplois et notre prospérité à long terme, mais positionnent aussi le Canada comme chef de file en matière de transports électriques. L'électrification des transports est un levier majeur pour atteindre à la fois nos objectifs économiques et climatiques.  C'est pourquoi nous sommes fiers d'appuyer et d'accompagner Lion dans cette importante étape de sa croissance. »

François-Philippe Champagne, ministre fédéral de l'Innovation, des Sciences
et de l'Industrie
 

« Avec sa nouvelle usine d'assemblage de batteries, Lion prend le virage de l'automatisation et mise sur l'innovation pour être encore plus compétitif à l'international. Ce projet représente une étape majeure dans le développement de notre filière québécoise des batteries. Avec nos minéraux critiques, notre recherche de calibre mondial, nos technologies prometteuses et surtout, notre électricité propre et renouvelable, le Québec a tout ce qu'il faut pour devenir un leader du virage électrique mondial. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l'Économie et de l'Innovation du Québec

« Lion est un joueur important de l'écosystème québécois et canadien en électrification des transports. Cette usine permettra à Lion d'intégrer un élément fondamental de la chaîne d'approvisionnement de nos véhicules électriques. Grâce aux prêts des gouvernements fédéral et provincial, nous pourrons désormais fabriquer au Canada ce que nous importions auparavant. Lion, le Québec et le Canada y gagneront, tant sur le plan économique qu'environnemental, au grand bénéfice des générations à venir. »

Marc Bédard, président fondateur de Lion électrique

Faits saillants

  • Lion Électrique est une entreprise québécoise qui conçoit et fabrique des autobus scolaires et des camions électriques à 100 %. Elle emploie présentement plus de 465 personnes à son usine de Saint-Jérôme, dans les Laurentides, au Québec.
  • Au terme du projet annoncé aujourd'hui, la compagnie produira 2 500 véhicules par année.
  • L'investissement de près de 50 millions de dollars du gouvernement du Canada provient du Fonds stratégique pour l'innovation, alors que celui de 50 millions de dollars du gouvernement du Québec, accordé par l'entremise d'Investissement Québec, est issu du Fonds du développement économique.
  • Le projet de l'entreprise répond à deux axes de la Stratégie québécoise du développement de la filière batterie du gouvernement du Québec, soit de fabriquer des composants de batterie et de produire des véhicules commerciaux électriques au Québec.
  • Le projet favorisera l'adoption de véhicules électriques commerciaux, au Canada et au Québec, ce qui réduira les émissions de gaz à effet de serre.

Liens connexes

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QUÉBEC, le 12 mars 2021 /CNW Telbec/ - Le gouvernement du Québec confirme aujourd'hui une reprise progressive des activités de loisir et de sport pour toutes les régions du Québec à compter du 26 mars. La ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine, Mme Isabelle Charest, en a fait l'annonce aujourd'hui. L'ensemble de la population pourra désormais participer à des activités organisées en respectant les directives de la Direction générale de la santé publique propres au palier d'alerte de sa région. « Ce qui me réjouit dans l'annonce d'aujourd'hui, c'est de pouvoir annoncer aux enfants et à nos jeunes qu'ils vont pouvoir retrouver leurs coéquipiers à partir du 26 mars », a déclaré la ministre déléguée.

En zone rouge 

En zone rouge, l'ensemble des installations intérieures seront ouvertes, dont les centres de conditionnement physique. Les entraînements pratiqués seul, en dyade ou entre occupants d'une même résidence privée seront permis à compter du 26 mars.

Les personnes résidant en zone rouge pourront également poursuivre la pratique d'une activité sportive ou de loisir extérieure avec un groupe d'un maximum de huit personnes ou entre occupants d'une même résidence privée, comme actuellement. Dans les centres d'entraînement, la tenue d'un registre d'entraînement sera obligatoire.

Les activités parascolaires seront permises en groupe-classe stable dès le 15 mars. 

En zone orange

En zone orange, la limite du nombre de personnes pouvant participer à une même activité sportive extérieure est augmentée à douze. 

Également, un maximum de huit personnes pourra désormais participer à une activité organisée à l'intérieur. Rappelons qu'en zone orange, les salles d'entraînement et les autres plateaux sportifs intérieurs sont ouverts. Dès le 26 mars, il sera possible de fréquenter ces installations en groupe de huit personnes dans le contexte d'un cours ou d'une activité encadrée. Il est à souligner que la distanciation physique de deux mètres devra être respectée en tout temps, peu importe le type d'activité et la région dans laquelle elle est pratiquée.

Dès le 15 mars, les activités parascolaires de même que les sorties scolaires seront permises en groupe-classe stable. Un allègement supplémentaire entrera en vigueur le 26 mars alors que les élèves de groupes-classes stables différents pourront participer à des activités parascolaires intraécole, sans contact. Les règles s'appliquant pour les activités parascolaires seront les mêmes que pour les autres activités, soit un maximum de douze élèves pour les activités extérieures et de huit élèves pour les activités pratiquées à l'intérieur. Encore une fois, une distanciation physique de deux mètres devra être respectée en tout temps. 

Encadrement et respect des mesures sanitaires

Il est à noter que la pratique de toute activité de loisir et de sport de groupe à l'intérieur doit être obligatoirement encadrée par une personne responsable du respect des mesures sanitaires en vigueur. Si l'activité est organisée par une association ou un club, les mesures appliquées doivent respecter le protocole de reprise des activités de la fédération ou de l'organisme concerné. 

Pour le moment, aucun match interéquipes ou interécoles ni compétition ne sont permis. De plus, les activités, qu'elles soient extérieures ou intérieures, doivent se dérouler sans spectateurs. Enfin, l'ensemble des activités devront se dérouler sans contact physique.

Formations et clientèle vulnérable

Par ailleurs, que ce soit en zone rouge ou en zone orange, les formations d'intervenants responsables d'assurer la sécurité des participants, comme les sauveteurs en natation et les patrouilleurs de ski, seront permises. Le déroulement de ces formations doit permettre l'application stricte des mesures de distanciation et l'absence de contacts entre les participants. 

Les personnes ayant besoin d'un accompagnement, telles que celles ayant un handicap ou les enfants de moins de 10 ans, peuvent être accompagnées au besoin par une personne habitant à la même adresse pour pratiquer une activité. Si ce n'est pas possible, la personne handicapée qui détient la Carte accompagnement loisir pourra l'utiliser comme preuve du besoin d'accompagnement. Dans ce cas, si la distanciation ne peut être respectée, l'accompagnateur doit porter un équipement de protection.

Citations :

« Je suis très heureuse de l'étape que nous franchissons aujourd'hui pour la reprise progressive des activités de loisir et de sport. Je suis consciente que plusieurs l'attendaient avec impatience. Les mesures annoncées permettront à l'ensemble des Québécoises et Québécois de renouer avec les sports organisés. Les jeunes pourront pratiquer à nouveau leurs activités favorites et surtout retrouver leurs coéquipiers! Notre gouvernement sait à quel point la pratique régulière de diverses activités physiques, de sport, de loisir et de plein air est importante pour la santé physique et mentale. L'annonce d'aujourd'hui, c'est le résultat d'un travail d'équipe avec les partenaires du sport et du loisir et j'ai confiance que les sportives et sportifs seront exemplaires dans le respect des règles sanitaires. Cela nous permettra de cheminer vers un retour à la normale dans les prochains mois. D'ici là, jouons en équipe et bougeons de façon sécuritaire. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

« Le sport et les loisirs permettent aux jeunes de s'intéresser encore davantage à l'école. Nous entrons dans la dernière ligne droite avant la fin de l'année scolaire et c'est d'autant plus important que les élèves puissent bouger et socialiser pour réussir. C'est une source de motivation importante pour plusieurs élèves. J'espère que cette annonce viendra mettre un baume sur cette année qui a été difficile pour plusieurs. Il ne faut surtout pas lâcher. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation 

« Notre gouvernement a récemment mis en place, avec l'accord de la Direction générale de la santé publique, des mesures pour que la communauté étudiante retourne sur les campus. Je suis convaincue que la reprise graduelle des activités sportives donnera une nouvelle bouffée d'air aux étudiantes et étudiants qui, rappelons-le, ont fait preuve d'un dévouement et d'une détermination de fer depuis le début de la pandémie. Il faut tenir bon; le retour vers la vie normale se fait tranquillement mais sûrement. »

Danielle McCann, ministre de l'Enseignement supérieur

Faits saillants :

  • En toutes circonstances, une personne responsable, par exemple un entraîneur, peut s'ajouter à un groupe et tous pourront accéder aux installations permettant de se préparer à l'activité dans le respect strict des règles sanitaires en vigueur.  
  • En zone orange et en zone rouge, seuls les vestiaires utilisés dans le cadre des activités aquatiques seront accessibles. 
  • La pratique de loisirs et de sports dans un contexte collégial et universitaire devra se dérouler dans le respect des directives propres au palier d'alerte de la région dans lequel l'établissement d'enseignement supérieur est situé. 

Liens connexes :

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QUÉBEC, le 10 mars 2021 /CNW Telbec/ - Le directeur général des élections, M. Pierre Reid, s'est exprimé à l'Assemblée nationale, cet après-midi, à l'occasion des consultations particulières sur le projet de loi no 85, la Loi visant à faciliter le déroulement de l'élection générale municipale du 7 novembre 2021 dans le contexte de la pandémie de la COVID-19. 

Le dirigeant d'Élections Québec a appuyé le projet de loi; il considère qu'il offre la flexibilité et les garanties nécessaires pour permettre de préserver l'accessibilité du vote, l'intégrité de l'élection et la santé des électrices, des électeurs, des personnes candidates et du personnel électoral. Le projet de loi attribue notamment au directeur général des élections le pouvoir de modifier, par règlement, des dispositions de la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités. Il lui attribue aussi, pour cette élection, un pouvoir élargi d'adaptation de la Loien dehors de la période électorale.

M. Reid a insisté sur l'importance d'adopter le projet de loi dans les meilleurs délais : « Quelque 1 100 présidentes et présidents d'élection se préparent à tenir une élection générale dans leur municipalité d'ici quelques mois. Les mesures doivent donc être connues rapidement. Nous sommes d'ailleurs déjà à pied d'œuvre pour définir les mesures qui devront être prévues par règlement. Dès l'adoption du projet de loi no 85, nous serons prêts à les faire connaître. » 

Mesures règlementaires envisagées 

M. Reid a indiqué que plusieurs mesures prévues au protocole sanitaire qui a encadré la tenue d'élections municipales partielles au cours des derniers mois serviront d'assises à la planification des élections générales de 2021. Il envisage, par exemple :

  • D'augmenter le nombre de jours de vote et de prolonger les heures d'ouverture des bureaux de vote; 
  • D'élargir le vote par la poste à certains groupes d'électrices et d'électeurs; 
  • De réduire le nombre de signatures d'appui requis pour la déclaration de candidature et pour les autorisations en matière de financement politique; 
  • De permettre aux électeurs d'utiliser leur propre crayon pour voter.

Ces mesures règlementaires seront complétées par les consignes sanitaires en vigueur au moment des élections, le cas échéant.

Appel à l'action pour l'élection provinciale

Par ailleurs, M. Reid a profité de l'occasion pour inviter les parlementaires à anticiper les besoins liés aux élections générales provinciales, puisque personne ne peut présumer quelle sera la situation sanitaire en 2022. Il souhaite qu'un projet de loi soit adopté dans les meilleurs délais, notamment pour l'habiliter à adapter les dispositions de la Loi électorale au contexte de la pandémie en dehors de la période électorale, comme le prévoit le projet de loi no 85. Le directeur général des élections souhaiterait d'ailleurs que ce pouvoir d'adapter les lois électorales en dehors de la période électorale lui soit accordé sur une base permanente, et non uniquement dans le contexte de la pandémie de la COVID-19. « La dernière année nous a enseigné l'importance de pouvoir s'adapter rapidement à tous les scénarios, même à ceux qui nous semblent impossibles », a-t-il souligné. 

Pour en savoir plus

À propos d'Élections Québec

Élections Québec est une institution neutre et indépendante qui a pour mission d'assurer l'intégrité, la transparence et la fiabilité des élections et de promouvoir les valeurs démocratiques québécoises. En plus d'assurer le bon déroulement des élections provinciales, Élections Québec appuie les municipalités dans l'organisation de leurs élections et veille à l'application des règles sur le financement politique. L'institution agit également comme poursuivant public afin d'assurer le respect des lois électorales québécoises.

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