Le comité de parents de la CS de #Laval a sondé les parents concernant les maternelles 4 ans. #eduqc #pl5 #assnat #polqc




Sylvain Martel posted in the group: Comité de parents de la Commission scolaire de Laval.
Le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur a l'intention d'implanter des maternelles pour les enfants de 4 ans, partout au Québec. En début d'année, réalisant les impacts majeurs à plusieurs niveaux que pouvait avoir une telle implantation, les parents membres du Comité de parents de la CSDL ont émis le souhait de faire le point sur cet enjeu.
Afin d'avoir une idée claire de la position des parents qu'il représente, le Comité de parent a souhaité récolter l'avis des parents lavallois ayant déjà des enfants dans le système scolaire. Le sondage visait à éclaircir deux points fondamentaux :
1) L'opinion générale des parents lavallois envers une maternelle dès l'âge de 4 ans.
2) L'intention des parents lavallois d'utiliser un tel service pour leurs enfants.
Le sondage a été effectué entre le 17 et le 29 avril 2019. Un lien vers le sondage fut transmis par les directions via les listes de courriel internes des écoles. Il y a eu 5968 répondants, des parents lavallois ayant un ou des enfants dans une école de la CSDL.
Vous pouvez télécharger les résultats complets à cette adresse :https://comitedeparentslaval.com/sondage-sur-les-maternell…/


Veut-on laisser tomber le principe d'égalité des chances, d'équité et accessibilité à une #éducation de qualité dispensée dans une #école gratuite au #Québec?

Dans le cadre du projet de loi #pl12, toutes les voix d'opposition sont unanimes: NON. Je partage le même avis.

La députée péquiste Véronique Hivon (@vhivon) en entrevue avec Daphnée Dion-Viens (Le Journal de Québec) résume très bien la situation:


«               On ne peut pas, sous prétexte que l'on doit adopter à toute vitesse un projet de loi sur la question des frais reliés au matériel scolaire, venir complètement enlever le principe de la gratuité de l'éducation publique au Québec (...) en permettant de facturer sans aucune balise et sans aucun plafond tout projet particulier. C'est très très inquiétant  » 

-- Véronique Hivon, Députée de Joliette



Le ministre de l'Éducation, Jean-François Roberge — député de Chambly, répond:

«On doit avoir un cadre légal clair et ferme pour septembre prochain, a-t-il affirmé. Je me suis engagé à clarifier tout ce qu'on peut charger et ne pas charger pour la prochaine rentrée scolaire et je vais le faire.»

Il tient donc, à tout prix, à permettre, par le projet de loi 12 et son règlement, de facturer pour les programmes particuliers, les concentrations ou toute forme de scolarisation qui serait bonifié du programme de l'éducation québécoise.

J'ai des frissons.

On a déjà de l'éducation à 3 vitesses financée par l'État. Le publique, le publique-à-programme-particuliers et le privé.

Les factures élèves (cahiers, crayon, etc) sont déjà assez élevées, souhaitons-nous réellement que chacun des élèves qui a besoin d'être stimulé pour demeuré intéressé à l'école doive s'inscrire dans un programme particulier ET que ses parents DÉBOURSENT, TRÈS SOUVENT, DES SOMMES FARAMINEUSES pour les programmes?

Une analyse rapide des informations m'a permis de voir un écart allant de quelques dizaines de dollars (alternatif, multimédia) à plusieurs milliers de dollars (en moyenne de 350 $ à 500 $ pour la majorité des programmes arts et multisport, mais les sports fédérés sont dans les eaux de 2000 $, le hockey 4500 $, le baseball 8000 $, hockey midget 8500 $ et la palme revient au tennis qui se situe entre 5000 $ et 12000$ PAR ANNÉE!).

Est-ce que l'école financée par l'État doit s'impliquer dans des sports et activités d'élite?  Car c'est faux de dire qu'à ces montants le Québec offre une école publique et l'égalité des chances à tous. Le porte-feuille des parents dicte l'accessibilité à ses programmes particuliers.

Il est minuit moins une. Peuple, réveillons-nous.




MONTRÉAL, le 16 avril 2019 /CNW Telbec/ - Le Conseil de discipline de l'Ordre des ingénieurs du Québec a rendu sa décision sur culpabilité et sanction à l'égard de M. Claude de Guise, qui se voit imposer une radiation de 10 ans du tableau de l'Ordre.

M. de Guise a été reconnu coupable d'avoir contrevenu à plusieurs articles du Code de déontologie des ingénieurs, pour avoir toléré la mise en place d'un système de partage de contrats permettant de contourner le processus d'appels d'offres de la Ville de Laval et pour avoir participé à ce système. De plus, l'intimé a tiré des bénéfices personnels importants - notamment une importante somme d'argent et de multiples cadeaux - en contrepartie de son rôle dans le système de partage de contrats.

L'intimé a reconnu avoir dérogé à ses obligations déontologiques pour de nombreux contrats publics octroyés par la Ville de Laval durant une période d'environ six ans, entre 2002 et 2008, alors qu'il agissait comme directeur du service de l'ingénierie de la Ville de Laval.

Dans sa décision, le Conseil de discipline souligne que « compte tenu de la nature des gestes reprochés et du risque de récidive que le Conseil n'est pas en mesure d'évaluer, une période de radiation sévère s'impose à l'intimé pour les gestes qu'il a posés en toute connaissance de cause et [pour les] avantages personnels qu'il en a tirés ».

M. de Guise n'étant plus membre de l'Ordre, les sanctions qui lui sont imposées deviendront exécutoires au moment de sa réinscription au tableau de l'Ordre.

La version intégrale de la décision du Conseil de discipline peut être consultée sur le site Web de l'Ordre. Dans sa décision, le Conseil de discipline condamne également M. de Guise à payer l'ensemble des déboursés relatifs à l'instruction de la plainte.

Pour rappel, les sanctions imposées par le Conseil de discipline ont pour objectif de protéger le public en dissuadant le professionnel de récidiver et en servant d'exemple à l'égard des autres membres de la profession.

À propos de l'Ordre des ingénieurs du Québec

Fondé en 1920, l'Ordre des ingénieurs du Québec regroupe quelque 66 000 professionnels du génie de toutes les disciplines, à l'exception du génie forestier. L'Ordre se veut une référence en matière de professionnalisme et d'excellence en génie, ainsi qu'un organisme rassembleur. Il a pour mission d'assurer la protection du public en agissant afin que les ingénieurs servent la société avec professionnalisme, conformité et intégrité dans l'intérêt du public. Pour plus d'information, consultez le site www.oiq.qc.ca.

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2019-04-02 – Le 28 mars dernier, Simon Jolin-Barrette, le Ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion a déposé un projet de loi qui vise à affirmer la laïcité de l’État et à préciser les exigences qui en découlent.



«   Essentiellement, le projet de loi vise à affirmer et à définir la laïcité de l'État dans le droit québécois selon quatre grands principes :

  La séparation de l'État et de la religion
  La neutralité religieuse de l'État
  L'égalité des citoyennes et des citoyens
  La liberté de conscience et de religion

Il prévoit que certaines personnes en position d'autorité, comme les procureurs, les policiers, les enseignants et les directeurs des écoles primaires et secondaires publiques, ne pourront pas porter de signes religieux dans l'exercice de leurs fonctions. À cet égard, dans un souci d'obtenir l'adhésion du plus grand nombre de Québécois possible derrière cet important projet de loi, le gouvernement a prévu, dans celui-ci, que les personnes en poste au moment de la présentation du projet de loi conserveront le droit de porter un signe religieux tant qu'elles exerceront la même fonction au sein de la même organisation.

Le projet de loi précise aussi que les services publics devront être donnés à visage découvert. Il est aussi prévu que les services publics seront reçus à visage découvert lorsque la vérification de l'identité ou la sécurité l'exigera. » 

--  Communiqué de presse, 28 mars 2019
Projet de loi sur la laïcité de l'État -
Se rassembler pour une avancée historique


Le gouvernement CAQuiste de François Legault accouche de ce projet de loi après un flottement qui remonte à 2006.  Cette année-là, deux jugements sont venus ébranler les temples de la laïcité québécoise qui remonte aux années 1960 (entre autre, avec la création du Ministère de l’éducation en 1964).
·        Le 2 mars 2006, la Cour suprême du Canada autorisait un jeune sikh montréalais à porter à l'école un kirpan, une sorte de couteau rituel.

·        Le 22 septembre 2006, le Tribunal des droits de la personne ordonnait à la ville de Laval de cesser la pratique de la récitation de la prière lors des assemblées publiques du conseil municipal.
En mai 2008, un peu plus d’un an après sa création par le premier ministre Jean Charest, la commission Bouchard-Taylor a accouché d’un rapport portant sur  les questions liées aux accommodements raisonnables consentis sur des bases culturelles ou religieuses au Québec.  Un rapport final de 310 pages comprenant 37 recommandations divisées en 8 thèmes.

«      En ce qui concerne le port de signes religieux par les agents de l’État, nous recommandons qu’il soit interdit à certains d’entre eux (magistrats et procureurs de la Couronne, policiers, gardiens de prison, président et vice-présidents de l’Assemblée nationale). Mais pour tous les autres agents de l’État (enseignants, fonctionnaires, professionnels de la santé et autres), nous estimons que le port de signes religieux devrait être autorisé. »

-- Rapport Bouchard-Taylor, p. 261



Mais depuis aucune législation n’était venue encadrer ou préciser ces recommandations.
De plus, lors du dépôt du projet de loi, Legault et Jolin-Barrette se sont engagé à retirer le crucifix du salon bleu de l’Assemblé nationale une fois la loi adopté.
Quelques jours après, en entrevue avec Michel Lacombe à Radio-Canada, le président de la Fédération des commissions scolaire a réagi (http://bit.ly/2FKWkgq) au projet de loi:


«   Incohérence.  Incohérence sur le plan fondamental.

Lorsqu’on enseigne à l’école le vivre ensemble, l’éducation à la citoyenneté, lorsque les enseignants qui se battre à tous les jours disent aux enfants de se découvrir les uns et les autres, travailler des enjeux sociaux qui font en sorte qu’on est bien plus fort quand on est un à côté de l’autre, quand on est tous pareil. Et là le gouvernement arrive avec un projet de loi qui ne semble, à notre avis, pas véhiculer le même message.

Et il y en a d’autres.  On là prit du côté école publique et école privée.  C’est comme si l’école privée on ne peut jamais jamais jamais jamais y toucher.  Il y a un espèce de vase de Crystal que du moment où on y touche ça va casser.

Qu’est-ce que c’est cette affaire-là de ne pas être capable de dire que si on veut que l’État soit laïque et qu’on met des règles à l’école publique bien l’école privée qui est en grande partie une école publique avec une très forte subvention de l’état (financée à 60 – 70% par l’état).  Ça n’a pas de bon sens.  On n’est pas capable de faire respecter la loi. » 

-- Alain Fortier, président de la Fédération des commissions scolaires du Québec

À première vue, je dois avouer être surpris du traitement différent entre l’école publique et l’école privée.  Mais je n’ai pas eu l’opportunité de me renseigner sur les motivations.

Je me questionne aussi sur l’obligation de ratisser aussi large.  Dans les prochains jours je vais prendre connaissance du projet de loi pour me faire une opinion.  Je vous reviendrais avec un nouveau post sur mon opinion, mais aussi d’autres réactions que j’aurais recensées et bien sûr en notant les points forts et ceux à améliorer.

2019-04-02 - Le conseil de discipline de l’Ordre des ingénieurs du Québec  a rendu ses décisions sur culpabilité et sanction à l'égard de M. Yanick Bouchard, qui se voit imposer une radiation de 7 mois du tableau de l'Ordre, ainsi qu'une amende de 6 000 $.

#LAVAL #PolMun #CORRUPTION #GENIVAR


« Alors qu’il est ingénieur et vice-président des infrastructures de la firme d’ingénierie Genivar (Genivar), M. Yanick Bouchard (l’intimé) se prête à des procédés malhonnêtes ou douteux en tolérant un système de partage de contrat permettant de contourner le processus d’appel d’offres de la Ville de Laval, verse directement ou indirectement des avantages sous forme de financement politique au parti Pro des Lavallois en vue d’obtenir un contrat, manquant ainsi d’intégrité. » peut-on lire dans le jugement du conseil de discipline.  Source : http://bit.ly/2HTZVfJ

Les faits reprochés se sont déroulés sur une période d'environ 18 mois, entre 2008 et 2010, alors qu'il était vice-président aux infrastructures au sein de la firme Genivar.

M. Yanick Bouchard n'étant plus membre de l'Ordre, la radiation qui lui est imposée deviendra exécutoire au moment de sa réinscription au tableau de l'Ordre.

SOURCE Ordre des ingénieurs du Québec



COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Pour publication immédiate

ACTION LAVAL DEMANDE L’IMPUTABILITÉ AU SEIN DES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Laval, le 2 avril 2019 - C’est lors de la séance du Conseil municipal du mois d’avril que les conseillers municipaux d’Action Laval ont demandé une plus grande imputabilité de la part des élus nommés pour siéger à des conseils d’administration; déposant à cet effet trois amendements à des résolutions visant à nommer ou à remplacer leurs membres.

Nous rappellerons qu’il est du pouvoir du Conseil municipal de nommer ou de mettre en candidature, par résolution, ses membres au sein de conseils d’administration d’organismes municipaux ou externes. La nomination d’un élu à certains C. A. peut lui apporter une rémunération supplémentaire, par exemple, à la STL, le président actuel, Éric Morasse, obtient une rémunération de 45 000$, la vice-présidente 25 000$ et les administrateurs 20 000$. En général, la reddition de comptes des élus nommés à des C. A. face au Conseil municipal est assez faible, d’où les trois amendements aux résolutions 10-13, 10-34 et 10-35.

Premier à prendre la parole, le conseiller de Saint-Bruno et porte-parole de l’opposition en matière d’éthique, David De Cotis, a déposé un amendement pour exiger de la part de Sandra Desmeules, mise en candidature à titre de membre du C. A. de la Fédération canadienne des municipalités (10-13), qu’elle fasse rapport, advenant son élection, de ses déplacements et de ses interventions dans le cadre de son travail d’administratrice à la FCM. « L’an dernier, Mme Desmeules s’est fait rembourser près de 15 000$ de dépenses pour ses déplacements. Nous croyons que le dépôt au Conseil municipal d’un rapport écrit permettrait d’éviter que les citoyens aient le sentiment que les élus se payent des vacances sur leur dos. C’est une question de perception et c’est très important », a-t-il indiqué.

Quant aux deux autres amendements, déposés par Paolo Galati (Saint-Vincent-de-Paul) et Michel Poissant (Vimont), ces derniers visent à faire en sorte que Ray Khalil et Sandra El-Helou soient évalués par leurs pairs dans le cadre de leurs nouvelles fonctions d’administrateurs. Cette évaluation se ferait sous la forme d’une grille de type 360 degrés et serait déposée à la fin de chaque année au Conseil municipal. « Il est tout à fait normal que les élus nommés à des C. A. soient évalués et que cette évaluation soit déposée au Conseil. C’est logique, de la même façon qu’une entreprise va demander à ses employés siégeant aux C. A. de ses filiales de leur rendre des comptes », a déclaré Michel Poissant.

En conclusion, les conseillers municipaux d’Action Laval rappellent que ce type de reddition de comptes devrait être généralisé à tous les conseils d’administration et comités, qu’ils soient rémunérés ou non.

Source: Action Laval

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2019-04-02 - « Contrairement aux autres régions adjacentes à #Montréal, #Laval parvient tout juste à maintenir un solde positif en 2017-18. La région n’avait pas non plus fait de réels gains au cours des deux années précédentes. »
Source: http://bit.ly/2OGgADS

Hôtel de Ville de Laval; source: ici.radio-canada.ca
Qu'est-ce qui fait qu'au cours des deux dernières années la Ville de Laval arrive à peine à maintenir un équilibre entre l'arrivée de personnes de Montréal et les départs vers les autres villes plus au nord?

- transport collectif déficient (STL, EXO)
- infrastructures routières désuètes ou déficiente
- taxes élevées
- la perception de gestion partisane à l'Hôtel de Ville
- confiance envers les élus
- absence de projets structurants
- projets « éléphants blancs », tel le centre aquatique
- coûts des propriétés
- écoles jugées inadéquate (infrastructure, programmes, etc.)

MPR


Enseignants, vous et vos élèves participé à la réalisation d'un projet qui touche la culture ou les arts?  Il est temps de soumettre votre projet pour les Prix de reconnaissance Essor 2019.