LAVAL, QC, le 22 nov. 2022 /CNW Telbec/ - Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, ainsi que le ministre responsable de la région de Laval, Christopher Skeete, ont procédé aujourd'hui au lancement du programme Ma famille, ma communauté (MFMC) dans la région de Laval. Ce programme vise à éviter le placement d'un enfant ou d'un adolescent dans une ressource d'hébergement ou d'en minimiser les conséquences lorsque le placement est inévitable.

Bien que le maintien dans le milieu familial soit privilégié, il arrive que le placement d'un enfant ou d'un adolescent soit envisagé. Le programme MFMC vise la concertation et la mobilisation de toutes les ressources de la communauté (jeunesse et adulte) afin de permettre aux familles vulnérables d'être accompagnées adéquatement dans leur milieu lors de ce processus.

Le déploiement de ce programme dans la région de Laval constitue aussi une réponse à l'amélioration de l'accès aux services de proximité en permettant aux partenaires impliqués d'anticiper toutes les conditions de santé susceptibles de nécessiter des soins et des services aux enfants et aux adolescents.

Coordonné par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval, le programme appartient toutefois à la communauté grâce à la mobilisation des partenaires qui renforce le tissu social autour des enfants vivant une situation à risque de placement, de déplacement ou lors d'une réunification familiale.

Citations :

« Le programme Ma famille, ma communauté fait ses preuves partout où il est déployé. Je souhaite l'étendre dans les différentes régions du Québec. Je tiens à remercier tous les acteurs du milieu, tous les comités et toutes les équipes qui ont joint leurs efforts pour renforcer le cercle de bienveillance autour des enfants de la région de Laval. Chaque enfant mérite d'évoluer et de grandir dans un environnement sécuritaire, bienveillant et stable pour son développement. Ce programme s'inscrit dans la foulée des actions déployées par notre gouvernement afin de remettre l'enfant au cœur des décisions qui le concernent. »

Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux

« Grâce à une approche d'intervention repensée, le programme Ma famille, ma communauté assurera une meilleure prise en charge des enfants et des jeunes plus vulnérables. Je suis très fier d'accueillir cette initiative dans notre région et je tiens à féliciter tous les partenaires qui se sont impliqués dans la réalisation du projet. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l'Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme, ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :
  • À ce jour, 12 organismes communautaires de la région de Laval ont signé des lettres d'engagement à s'impliquer dans le programme MFMC. Par ailleurs, de nombreux partenaires, externes ou non, ont souligné leur intérêt et leur souhait d'être interpellés pour participer aux rencontres de processus décisionnel en équipe (PDÉ).
  • Rappelons qu'en juillet 2020, un investissement de 90 millions $ était annoncé afin de rehausser plusieurs services destinés aux jeunes en difficulté et leur famille. Dans ce contexte, un montant de 3 millions $ sera annuellement consacré à l'implantation du programme Ma famille, ma communauté.
Lien connexe :

Pour plus d'information sur le programme Ma famille, ma communauté, visiter la page https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/enfance/services-jeunes-difficulte-famille/protection-de-la-jeunesse/programme-famille-communaute

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2022/22/c3368.html

Programme Ma famille, ma communauté - Les ministres Lionel Carmant et Christopher Skeete soulignent le lancement du programme Ma famille, ma communauté dans la région de Laval

LAVAL, QCle 22 nov. 2022 /CNW Telbec/ - Le ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, ainsi que le ministre responsable de la région de LavalChristopher Skeete, ont procédé aujourd'hui au lancement du programme Ma famille, ma communauté (MFMC) dans la région de Laval. Ce programme vise à éviter le placement d'un enfant ou d'un adolescent dans une ressource d'hébergement ou d'en minimiser les conséquences lorsque le placement est inévitable.

Bien que le maintien dans le milieu familial soit privilégié, il arrive que le placement d'un enfant ou d'un adolescent soit envisagé. Le programme MFMC vise la concertation et la mobilisation de toutes les ressources de la communauté (jeunesse et adulte) afin de permettre aux familles vulnérables d'être accompagnées adéquatement dans leur milieu lors de ce processus.

Le déploiement de ce programme dans la région de Laval constitue aussi une réponse à l'amélioration de l'accès aux services de proximité en permettant aux partenaires impliqués d'anticiper toutes les conditions de santé susceptibles de nécessiter des soins et des services aux enfants et aux adolescents.

Coordonné par le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval, le programme appartient toutefois à la communauté grâce à la mobilisation des partenaires qui renforce le tissu social autour des enfants vivant une situation à risque de placement, de déplacement ou lors d'une réunification familiale.

Citations :

« Le programme Ma famille, ma communauté fait ses preuves partout où il est déployé. Je souhaite l'étendre dans les différentes régions du Québec. Je tiens à remercier tous les acteurs du milieu, tous les comités et toutes les équipes qui ont joint leurs efforts pour renforcer le cercle de bienveillance autour des enfants de la région de Laval. Chaque enfant mérite d'évoluer et de grandir dans un environnement sécuritaire, bienveillant et stable pour son développement. Ce programme s'inscrit dans la foulée des actions déployées par notre gouvernement afin de remettre l'enfant au cœur des décisions qui le concernent. »

Lionel Carmant, ministre responsable des Services sociaux

« Grâce à une approche d'intervention repensée, le programme Ma famille, ma communauté assurera une meilleure prise en charge des enfants et des jeunes plus vulnérables. Je suis très fier d'accueillir cette initiative dans notre région et je tiens à féliciter tous les partenaires qui se sont impliqués dans la réalisation du projet. »

Christopher Skeete, ministre délégué à l'Économie, ministre responsable de la Lutte contre le racisme, ministre responsable de la région de Laval

Faits saillants :
  • À ce jour, 12 organismes communautaires de la région de Laval ont signé des lettres d'engagement à s'impliquer dans le programme MFMC. Par ailleurs, de nombreux partenaires, externes ou non, ont souligné leur intérêt et leur souhait d'être interpellés pour participer aux rencontres de processus décisionnel en équipe (PDÉ).
  • Rappelons qu'en juillet 2020, un investissement de 90 millions $ était annoncé afin de rehausser plusieurs services destinés aux jeunes en difficulté et leur famille. Dans ce contexte, un montant de 3 millions $ sera annuellement consacré à l'implantation du programme Ma famille, ma communauté.
Lien connexe :

Pour plus d'information sur le programme Ma famille, ma communauté, visiter la page https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/enfance/services-jeunes-difficulte-famille/protection-de-la-jeunesse/programme-famille-communaute

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2022/22/c3368.html


DJERBA, Tunisiele 20 nov. 2022 /CNW Telbec/ - Le premier ministre François Legault, accompagné de la ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine, Martine Biron, dresse un bilan positif de sa participation au 18e Sommet de la Francophonie, tenu à Djerba en Tunisie.

Au cours des trois derniers jours, le premier ministre a pu renforcer la place du Québec au sein de la Francophonie en plaidant, devant les chefs d'État et de gouvernement, la nécessité d'assurer la pérennité du français au Québec et dans le monde. Au-delà des mots, il faut poser des gestes pour protéger la langue française, a insisté M. Legault, en particulier à Montréal où le pourcentage de Québécois dont la langue parlée à la maison est le français est passé de 54 % à 48 % en 20 ans.

Le premier ministre a pu s'exprimer à deux reprises devant ses pairs, chefs d'État et de gouvernement, au cours du Sommet, notamment lors d'une séance plénière sur la place des contenus numériques francophones. Il a indiqué l'importance d'investir pour plus de contenus francophones sur le numérique, notamment des produits culturels attrayants pour les jeunes pour compétitionner avec les produits en anglais. 

M. Legault a également été invité à prendre la parole devant le Forum économique de la Francophonie, réunissant plus de 500 personnes représentant le milieu d'affaires francophone des 88 États et gouvernements membres de la Francophonie. Il y a exprimé sa volonté d'augmenter nos échanges économiques avec nos partenaires de la Francophonie. Il existe un potentiel économique formidable et le Québec a tout pour en profiter. 

François Legault a aussi profité de sa participation au Sommet pour réaliser des entretiens bilatéraux stratégiques. Il a eu l'occasion d'effectuer notamment les entretiens suivants avec :

  • Le président de la République française, Emmanuel Macron.
  • Le premier ministre du CanadaJustin Trudeau.
  • Le ministre-président de la Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet.
  • Le président de la Confédération suisse, Ignozio Cassis.
  • Le président du Sénégal, Macky Sall.
  • La Secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie, Louise Mushikiwabo.
  • Le président fondateur de l'entreprise Coficab, Hichem Elloumi.
  • Les représentants du Mouvement des Entreprises de France.
  • Le ministre-président de la Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet.

En marge du Sommet, la ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Martine Biron, a pour sa part, en plus de plusieurs entretiens bilatéraux, rencontré des représentants de la Francophonie pour discuter de la situation préoccupante en Haïti. Il est nécessaire de trouver des solutions pour soutenir la population, qui vit une profonde crise sécuritaire, et subvenir à ses besoins. Le Québec continuera d'être un allié fidèle du peuple haïtien.

10 M$ pour la formation technique

Le premier ministre a profité de son passage au Sommet de la Francophonie pour annoncer la création du Programme Québec-Francophonie en formation technique, doté d'une enveloppe de 10 millions de dollars sur 3 ans pour former de la main-d'œuvre dans les pays de la Francophonie.

Ce programme appuiera les cégeps et les collèges privés québécois subventionnés qui élaborent des projets de formations avec des partenaires dans des pays en développement francophones, dans des secteurs prioritaires pour l'économie québécoise. Cette nouvelle mesure permettra au gouvernement de faciliter l'intégration de travailleurs formés à l'étranger dans les domaines stratégiques du marché du travail québécois. Il poursuivra par le fait même sa contribution à la qualité de la formation technique dans les pays partenaires.

Prochaine Rencontre des entreprises francophones (REF) au Québec

M. Legault a finalement invité les gens d'affaires de toute la Francophonie à venir au Québec afin d'accroître les échanges économiques et commerciaux entre pays francophones. Il a annoncé la tenue au Québec en 2023 de la Rencontre des entreprises francophones (REF), à l'initiative de l'Alliance des patronats francophones, dont le Conseil du patronat du Québec assume la vice-présidence, ainsi qu'une mission d'envergure d'entreprises francophones, à l'initiative de l'Organisation internationale de la Francophonie.

Citations :

« Le Sommet de la Francophonie est une tribune internationale unique pour notre nation, parce que le Québec en est membre à part entière. Le Québec doit continuer d'être un leader de la francophonie économique et doit continuer de tout mettre en œuvre pour protéger la langue française qui est en déclin, surtout sur l'île de Montréal. Je suis fier que le Québec prenne de plus en plus sa place dans la Francophonie et dans le monde. C'est essentiel à la fois pour notre économie et pour le rayonnement de notre nation. »

François Legault, premier ministre du Québec

« La Francophonie nous donne accès à 88 États et gouvernements membres, et le Québec y est membre actif depuis plus de 50 ans. Cette mission nous a permis de renforcer nos liens avec un grand nombre d'entre eux, notamment avec la Tunisie, hôte du Sommet. Je suis déterminée à assurer pleinement notre leadership en Francophonie pour l'avenir. »

Martine Biron, ministre des Relations internationales et de la Francophonie et ministre responsable de la Condition féminine

« La création du Programme Québec-Francophonie en formation technique viendra soutenir notre opération de recrutement de main-d'œuvre francophone. Je remercie nos établissements collégiaux qui participent à cette initiative de qualifications dans les secteurs prioritaires. Leurs expertises nous permettront de rayonner dans la Francophonie internationale. Ces formations techniques seront un vecteur important pour le développement économique autant à l'étranger qu'ici. »

Pascale Déry, ministre de l'Enseignement supérieur

Faits saillants :

La Francophonie, c'est :

  • Le regroupement de 88 États et gouvernements membres des 5 continents.
  • L'Organisation internationale de la Francophonie, cinq opérateurs (Association des parlementaires de la Francophonie, l'Association internationale des maires de la Francophonie, l'Agence universitaire de la Francophonie, TV5 et l'Université Senghor) ainsi que deux conférences ministérielles, l'une sur l'éducation et l'autre sur la jeunesse.
  • Un marché potentiel de 1,4 milliard d'habitants, dont 321 millions parlant le français.
  • Plus de 20 % des échanges mondiaux de marchandises.
  • 16 % de la richesse mondiale.
  • 2,18 $ de retombées économiques que génère chaque dollar investi par le gouvernement du Québec dans la Francophonie.

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2022/20/c8087.html



NASCAR Announces Launch of NASCAR Brasil Sprint Race

NASCAR racing will take place in 12 countries on three continents


DAYTONA BEACH, Fla. (Nov 16, 2022) — NASCAR today announced the creation of NASCAR Brasil Sprint Race, the sanctioning body's fourth international series and first in South America. The series, which will begin competition in 2023, is a partnership between NASCAR and the GT Sprint Race series in Brazil.

 

NASCAR Brasil Sprint Race joins the NASCAR Mexico Series, NASCAR Pinty's Series (Canada) and NASCAR Whelen Euro Series as the fourth international series racing under the NASCAR banner. In 2023, NASCAR racing will take place in 12 different countries on three continents.

 

"Brazil is a vibrant country, rich in motorsports culture and community, and the perfect location for our first series in South America," said Chad Seigler, NASCAR Vice President of International. "NASCAR Brasil Sprint Race will allow us to showcase the exciting side-by-side racing that defines NASCAR while giving Brazilian race fans a series to which they feel connected. It is our hope and intention that this series also opens more pathways for the country's best drivers, mechanics and engineers to advance to NASCAR's national series in the United States, the worldwide pinnacle of stock car racing."

 

"NASCAR is an iconic American sport, and we are honored to join forces to create NASCAR Brasil Sprint Race," said Carlos Col, General Partner, NASCAR Brasil Sprint Race. "GT Sprint Race has delivered exciting racing to fans since 2012 and this partnership will help take it to the next level with the introduction of more NASCAR-style racing, including future races on oval tracks. This is an historic day for motorsports in Brazil, and one that will benefit race fans across the country."

 

GT Sprint Race was founded in 2012 by Thiago Marques, a former standout stock car driver in Brazil, with the goal of balancing high levels of competition, performance and safety.  The 2022 schedule included 18 sprint races over nine weekends at road courses across Brazil, including Autodromo Jose Carlos Pace (Interlagos) in São Paulo. The 2023 schedule will be released at a future date.

 

Brazil's strong motorsports culture has extended to NASCAR over the past 20 years. Three Brazilian-born drivers have competed in NASCAR in the United States – Christian Fittipaldi made 15 Cup Series starts in 2003, Nelson Piquet Jr. started 83 races across NASCAR's three national series from 2010-16 winning three times, and Miguel Paludo has 81 starts in the NASCAR Xfinity Series and CRAFTSMAN Truck Series, including three this past season.

 

Through a partnership with Bandeirantes, all NASCAR Cup Series races and select Xfinity Series and CRAFTSMAN Truck Series races are shown on Band Sports. NASCAR is currently broadcast in 195 countries and territories, reaching over 500 million households.

 

 

About NASCAR

The National Association for Stock Car Auto Racing (NASCAR) is the sanctioning body for the No. 1 form of motorsports in the United States and owner of 16 of the nation's major motorsports entertainment facilities. NASCAR sanctions races in three national series (NASCAR Cup Series™, NASCAR Xfinity Series™, and NASCAR CRAFTSMAN Truck Series™), four international series (NASCAR Brasil Sprint Race, NASCAR Mexico Series, NASCAR Pinty's Series (Canada), NASCAR Whelen Euro Series), four regional series (ARCA Menards Series, ARCA Menards Series East & West and the NASCAR Whelen Modified Tour) and a local grassroots series (NASCAR Advance Auto Parts Weekly Series). The International Motor Sports Association™ (IMSA®) governs the IMSA WeatherTech SportsCar Championship™, the premier U.S. sports car series. NASCAR also owns Motor Racing Network, Racing Electronics, and ONE DAYTONA. Based in Daytona Beach, Florida, with offices in eight cities across North America, NASCAR sanctions more than 1,200 races in 12 countries and more than 30 U.S. states. For more information visit www.NASCAR.com and www.IMSA.com, and follow NASCAR on Facebook, Twitter, Instagram, and Snapchat ('NASCAR').

 


MONTRÉALle 7 nov. 2022.  /CNW Telbec/ - 

« Il y a 7 ans, le 9 novembre 2015, j'écrivais la première page de ma vie politique comme élue, à titre de députée libérale de Saint-Henri-Sainte-Anne.

Je me souviens encore de ma petite dernière. Elle était alors haute comme trois pommes et, aujourd'hui, elle me dépasse…presque, 7 ans plus tard, me voici devant vous pour fermer un chapitre très riche de ma vie et en commencer un nouveau.

Durant toutes ces années, j'ai eu le privilège de servir les citoyens de Saint-Henri-Sainte-Anne. Je l'ai fait avec beaucoup de détermination et d'empathie parce c'est un comté qui a besoin d'amour et de cœur.

J'ai aussi eu le privilège d'occuper la fonction de vice-première ministre et celui d'être la deuxième femme à occuper le poste de ministre de l'Économie.

Et si j'ai choisi la politique comme véhicule, c'est parce qu'au plus profond de moi j'ai la conviction que l'on doit travailler pour que chaque personne, peu importe où elle habite sur notre territoire, peu importe le milieu duquel elle est issue, peu importe ses origines, puisse atteindre son plein potentiel, qu'elle puisse être tout ce qu'elle peut être.

Tout au long de mon parcours, j'ai toujours défendu des valeurs qui m'ont été transmises par mes parents. Des valeurs d'inclusion, de respect et d'égalité des chances.

Je vais toujours voir grand pour le Québec. Pour que le Québec prenne pleinement sa place sur l'échiquier canadien comme ailleurs dans le monde. Un Québec capable de défendre sa langue et sa culture en incluant tous les Québécois.

Pour moi, être libérale, c'est croire en une société respectueuse des droits et libertés de chacun, ceux des autochtones qui sont ici depuis des millénaires et ceux du dernier immigrant qui vient de s'installer chez nous.

For me, being a liberal means believing in a society that respects the rights and freedoms of everyone.

Le parti libéral doit s'ancrer dans la modernité. Se saisir de l'importance que représente la lutte aux changements climatiques comme un vecteur de création de richesse collective nécessaire à l'expression de notre solidarité.

Être libérale, c'est reconnaître le chemin parcouru par les femmes, mais de prendre conscience de l'ampleur du chemin qui reste à faire pour une société véritablement plus juste et équitable au moment même ou ces femmes sont au front.

Notre parti est confronté à de nombreux défis. Il doit poursuivre son travail car nous avons un grand devoir de reconnexion avec les francophones et toutes les régions du Québec tout en restant fidèles à nos valeurs.

C'est ce grand parti qui est à l'origine de tant de réformes et de la Révolution tranquille. Le droit de vote des femmes, la nationalisation de l'électricité, la création de la Caisse de dépôt et placement, la mise en place du ministère de la Culture, le français comme langue officielle, l'assurance maladie, les grands projets de développement économique liés à notre hydro-électricité, le fond des générations, les grands projets de transport collectif.

Le Parti libéral a véritablement façonné le Québec tel qu'on le connaît aujourd'hui.

Lors de la dernière élection, nous avons eu un puissant vent de face. Dans ce contexte difficile, j'ai, jour après jour, donné le meilleur de moi-même.

Depuis le 3 octobre dernier, j'ai pris la pleine mesure des résultats et comme plusieurs, j'ai été déçue. J'ai alors entamé une réflexion personnelle qui est normale. J'ai eu de très nombreuses discussions avec nos candidats élus et non élus, des militants et de nombreuses personnalités respectées qui font partie de l'héritage libéral. Ma conviction en la pertinence et la nécessité d'un Parti libéral du Québec fort à l'Assemblée nationale reste inébranlable.

Les enjeux démographiques, culturels, socio-économiques et écologiques sont trop importants pour que l'opposition officielle soit déchirée. Le Parti libéral du Québec doit opérer un renouvellement de son offre politique et de sa façon même de faire de la politique et n'a pas le luxe d'être miné par des intrigues internes dont les Québécois n'ont que faire.

En conséquence, ayant à l'esprit les intérêts du Québec et le bien du Parti, j'ai informé le président du parti de ma démission à titre de Cheffe du Parti libéral du Québec.

J'annonce également que je quitterai mes fonctions de députée de Saint-Henri-Sainte-Anne le 1er décembre.

Having in mind the interests of Quebec and the good of the Party, I have informed the party president of my resignation as Leader of the Quebec Liberal Party.

I am also announcing that I will step down as Member of National Assembly for Saint-Henri-Sainte-Anne on December 1st of this year.

Aux militants libéraux, il y a de grands défis devant nous et nous aurons besoin de tout le monde. Notre parti a et aura grand besoin de vous et vos contributions sont et seront inestimables.

J'adresse aussi mes remerciements à ma gang. J'ai adoré partager avec vous la magnifique aventure qui nous a réunis. Je ne peux pas tous vous nommer, mais à toutes et tous, la meilleure des suites, je ne serai jamais bien loin.

À mes collègues du caucus, je vous souhaite d'agir dans l'harmonie et l'unité afin que vos actions puissent avoir le maximum d'impact dans la suite des choses à titre d'opposition officielle.

À mes concitoyens de Saint-Henri-Sainte-Anne qui m'ont permis de vivre une expérience hors du commun : vous représenter à l'Assemblée nationale aura été le privilège d'une vie.

De manière plus personnelle, j'ai une pensée très particulière pour ma sœur Pascale qui a toujours été là. « Une chance qu'on s'a. »

Pour mes parents, qui ont continué d'inspirer mes actions tandis que mes beaux-parents ont été d'une présence indéfectible, merci à vous quatre.

Pour mon partenaire de vie. 24 ans ensemble la semaine dernière, merci d'avoir rendu le tout possible. Tu avais promis d'être un roc. Tu as livré la marchandise. J'ai hâte de poursuivre la route ensemble.

À Michaël, Clara et Sophia, je vous ai donné la vie, mais c'est vous qui plus que jamais donnez un sens à la mienne. Merci mes amours.

Quant à moi, j'entame un nouveau chapitre de ma vie.

À titre de citoyenne engagée, je vais mettre à profit les enseignements de ma vie antérieure et ceux des 7 dernières années d'expérience politique à servir autrement le Québec. »

Dominique Anglade, députée de Saint-Henri-Sainte-Anne et Cheffe de l'Opposition officielle

Faits saillants du parcours de Dominique Anglade en politique :

  • Députée de Saint-Henri-Sainte-Anne (2015-2022)
  • Ministre de l'Économie (2016-2018)
    • Investissements majeurs dans le manufacturier innovant.
    • Stratégie pour renforcer l'écosystème québécois en IA.
  • Vice-première ministre du Québec (2017-2018)
  • Première femme cheffe du Parti libéral du Québec (2020-2022)
    • Mise de l'avant d'une vision éco-énergétique novatrice, le projet ÉCO.
    • Mise de l'avant d'une vision de développement régional, la Charte des Régions.

Cision Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2022/07/c9704.html