QUÉBEC, le 28 févr. 2020 /CNW Telbec/ - La Table citoyenne, un comité de nature consultative mis sur pied par Élections Québec et composé de 12 électrices et électeurs de tous horizons, a terminé un premier mandat de deux ans. Quatre principaux avis ressortent à la suite des six rencontres tenues entre 2017 et 2019 : introduire un cours d'éducation civique dès la 3e année du secondaire, encadrer les partis politiques en matière de protection des renseignements personnels, informatiser la liste électorale dans les lieux de vote et abaisser l'âge du vote à 16 ans.

Les membres de la Table citoyenne, de gauche à droite : Sabrina Vigneux (Montréal), Joane Marois (Laurentides), Brian Smith (Montréal), Isaïe-Nicolas  Dubois-Sénéchal (Estrie), Natalie Rouleau (Côte-Nord), Marie-Hélène Lyonnais (Montréal), Alexandra Armijo-Fortin (Montréal), Denis Lagacé (Bas-Saint-Laurent), Frédérique Alain-Boucher (Montréal), Merlin Voghel (Abitibi-Témiscamingue), Jean-Gabriel Hasbani (Outaouais) et Adam Samson (Montréal). (Groupe CNW/Directeur général des élections)

Introduire un cours d'éducation civique dès la 3e année du secondaire 

Les membres de la Table citoyenne souhaitent initier davantage les jeunes du secondaire au vote et à la vie démocratique. Ils croient en l'importance d'encourager les futures électrices et futurs électeurs à exercer leur esprit critique et à s'intéresser aux enjeux politiques contemporains.

Leur avis visant à introduire un cours d'éducation civique au secondaire fait écho à l'une des recommandations d'Élections Québec, publiée dans son Rapport annuel de gestion 2018-2019, qui consiste à intégrer l'éducation à la démocratie dans le parcours scolaire des jeunes.

Par ailleurs, dans le contexte de la consultation gouvernementale sur la révision du programme d'études Éthique et culture religieuse, qui abordait notamment le thème de la participation citoyenne et démocratique, la proposition des membres de la Table a contribué à enrichir la réflexion d'Élections Québec, qui a déposé un mémoire sur la question.

Encadrer les partis politiques en matière de protection des renseignements personnels 

Les membres de la Table citoyenne proposent également d'encadrer les pratiques des partis politiques pour protéger les renseignements personnels qu'ils détiennent sur les électeurs. En effet, les partis ne sont pas soumis aux lois qui s'appliquent aux entreprises privées ou aux ministères et aux organismes publics.

Ils proposent également que la Loi électorale soit modifiée pour réduire la fréquence de transmission de la liste électorale aux partis ainsi qu'aux personnes candidates et élues. De plus, les membres sont d'avis que le sexe et la date de naissance des électrices et des électeurs ne devraient plus figurer sur la liste transmise.

Élections Québec a soulevé les enjeux liés à la protection des renseignements personnels détenus par les partis politiques dans une étude publiée en février 2019. L'institution formule aussi depuis plusieurs années des recommandations à cet égard dans sesrapports annuels de gestion.

Informatiser la liste électorale dans les lieux de vote 

Pour améliorer l'expérience du vote, les membres de la Table citoyenne proposent d'utiliser une liste électorale informatisée dans les lieux de vote, et ce, partout dans la province. L'utilisation d'une telle liste permettrait aux électrices et aux électeurs de :

  • voter dans n'importe quel lieu de vote au Québec;
  • voter en fonction de leur ordre d'arrivée au lieu de vote plutôt qu'en fonction de l'achalandage à une table de vote précise;
  • s'inscrire ou modifier leur inscription à la liste électorale lors du vote par anticipation et le jour du scrutin.

Abaisser l'âge du vote à 16 ans 

Les membres sont également d'avis que l'âge du vote devrait passer à 16 ans. Cette mesure serait conditionnelle à l'introduction d'un cours d'éducation civique dès la 3e année du secondaire. Les membres souhaitent ainsi que les élections tiennent compte de l'opinion du plus grand nombre.

La Table citoyenne en bref

  • Comité créé en 2017 à l'initiative d'Élections Québec;
  • Douze électrices et électeurs nommés à la suite d'un appel de candidatures pour un mandat de deux ans;
  • Les membres donnent leur opinion, de façon impartiale et non partisane, sur des questions se rapportant au système électoral québécois, et ce, dans l'intérêt de la population québécoise;
  • Leurs réflexions ne se limitent pas aux exigences de la Loi électorale.

Consultez le Bilan du mandat 2017-2019 de la Table citoyenne pour obtenir plus de détails sur ces quatre propositions et pour connaître l'ensemble des avis émis au cours de ce mandat ainsi que les propositions formulées pour l'élection générale de 2022.

À l'issue de ce premier mandat, les membres de la Table citoyenne ont renouvelé leur engagement pour deux autres années.

À propos d'Élections Québec

Élections Québec est une institution neutre et indépendante qui a pour mission d'assurer l'intégrité, la transparence et la fiabilité des élections et de promouvoir les valeurs démocratiques québécoises.

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Consulter le contenu original pour télécharger le multimédia : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2020/28/c0246.html

COMMISSION SCOLAIRE DE LAVAL

Nomination de Mme Anne-Lise Gravel à titre de nouvelle directrice générale adjointe

26 février 2020


La Commission scolaire de Laval (CSDL) annonce la nomination de Mme Anne-Lise Gravel à titre de nouvelle directrice générale adjointe de l'organisation. Mme Gravel oeuvre dans le domaine de l'éducation depuis de nombreuses années et elle possède une expertise reconnue en tant que gestionnaire scolaire. Impliquée dans plusieurs instances décisionnelles d'envergure au cours de sa carrière, elle sera responsable de la supervision d'écoles primaires et de plusieurs dossiers stratégiques, dont le développement de l'employeur de marque. La nouvelle directrice générale adjointe entrera en poste le 23 mars prochain.

Le directeur général de la Commission scolaire de Laval, Yves Michel Volcy, se réjouit de cette nomination qui représente une valeur ajoutée pour l'équipe en place et pour l'ensemble de l'organisation : « L'expertise de Mme Gravel, notamment en matière de mise en place d'une culture de gestion axée sur les résultats, mais aussi d'accompagnement et de formation pour le personnel d'établissements scolaires, viendra assurément profiter à notre commission scolaire. Nous sommes heureux de voir une femme d'expérience comme Mme Gravel s'engager à la direction générale de la CSDL pour favoriser le développement d'une culture de collaboration et encourager, avec l'ensemble de notre équipe, le développement du plein potentiel de tous nos élèves. »

Anne-Lise Gravel a une formation initiale d'enseignante de français. Elle a également été chargée de cours au Département de gestion de l'éducation et de la formation de l'Université de Sherbrooke. Elle oeuvré à titre de directrice adjointe et de directrice d'école à la Commission scolaire de la Seigneurie des Mille-Îles, où elle a ensuite été nommée directrice adjointe des Services éducatifs, secteur jeunes. Elle a ensuite assuré la direction de ce même service au cours des 9 dernières années. Elle quitte maintenant ce poste pour rejoindre la direction générale de la Commission scolaire de Laval.

Pour plus d'information 

955, boul. Saint-Martin Ouest
Laval Québec
Canada H7S 1M5
 www.cslaval.qc.ca
QUÉBEC, le 27 févr. 2020 /CNW Telbec/ - La ministre de la Justice du Québec, Mme Sonia LeBel, annonce la nomination de M. Éric Beauparlant et de M. Marc-Antoine Carette comme juges de la Cour du Québec, ainsi que de M. Jonathan Meunier comme juge de la cour municipale de la Ville de Laval à compter de ce jour.

M. Éric Beauparlant est détenteur d'un baccalauréat en sciences juridiques de l'Université du Québec à Montréal. Il a été admis au Barreau en 1993 et a commencé sa carrière au centre communautaire juridique de Montréal. Depuis 2002, il pratiquait sa profession au sein du Directeur des poursuites criminelles et pénales où, depuis 2017, il agissait à titre de procureur en chef du Bureau des affaires de la jeunesse. M. Beauparlant exercera principalement ses fonctions à la Chambre de la jeunesse de Montréal.

M. Marc-Antoine Carette est détenteur d'un baccalauréat en droit de l'Université de Montréal. Il a été admis au Barreau en 2002 et a amorcé sa carrière en pratique privée. Depuis 2004, il pratiquait sa profession au sein d'un cabinet privé qui porte maintenant le nom de Carette Desjardins SNA. M. Carette exercera principalement ses fonctions à la Chambre criminelle et pénale de Longueuil.

M. Jonathan Meunier est détenteur d'un baccalauréat en droit de l'Université de Montréal. Il a été admis au Barreau en 2002 et a entamé sa carrière à titre de procureur aux poursuites criminelles et pénales. Il a ensuite travaillé cinq ans en pratique privée. Depuis 2015, il exerçait sa profession au sein du Directeur des poursuites criminelles et pénales.

SOURCE Cabinet de la ministre de la Justice et Procureure générale du Québec

MONTRÉAL, le 25 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Le premier ministre du Québec, M. François Legault, et le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, ont dévoilé aujourd'hui la nouvelle vision qui guidera dorénavant la rénovation, l'agrandissement et la construction d'écoles primaires et secondaires au Québec.

Pour le premier ministre, c'est une nouvelle génération d'écoles qui seront bâties, dès 2020, dans une perspective d'intégration à la communauté et de développement durable. Ces écoles arboreront également une toute nouvelle identité architecturale mettant en valeur des accents de bleu et les matériaux du Québec, principalement le bois et l'aluminium.

Les écoles seront adaptées aux nouvelles méthodes d'enseignement. Les espaces communs favoriseront la socialisation et le sentiment d'appartenance des élèves. Les écoles seront inspirantes pour les élèves, le personnel scolaire et l'ensemble de la communauté.

Cet effort majeur du gouvernement du Québec, qui vise à permettre à chaque enfant de bénéficier d'un environnement scolaire propice à la réussite, sera soutenu par des investissements sans précédent. Uniquement cette année, il s'est traduit par un investissement record de 4 milliards de dollars. Ces sommes permettront d'amorcer des projets de rénovation dans plusieurs centaines d'écoles du Québec, au bénéfice des élèves et du personnel enseignant qui les fréquentent. Elles permettront également de lancer 128 projets d'ajout d'espace à travers le Québec.

Citations :                  

« On le sait, les écoles du Québec ont beaucoup manqué d'amour. Il y a un peu plus d'un an, j'ai promis aux Québécoises et aux Québécois de m'attaquer à ce problème et de leur offrir des écoles dont ils pourraient être fiers. Ce dont nous avons besoin, c'est une nouvelle génération d'écoles pour nos élèves. En dévoilant cette nouvelle vision et en dotant le réseau scolaire des moyens nécessaires pour la déployer, nous amorçons un nouveau chapitre pour leur offrir le meilleur environnement possible, de même qu'à nos enseignants. »

François Legault, premier ministre du Québec

« Par cette annonce, nous donnons le coup d'envoi officiel de ce qui sera, je crois, l'un des chantiers les plus importants de la prochaine décennie. Les élèves et le personnel scolaire d'aujourd'hui et de demain méritent des écoles qui les rendront fiers, des lieux d'apprentissage qui les inciteront à se dépasser. Nos écoles ne doivent pas être suffisantes. Elles doivent être inspirantes. Trop longtemps, elles ont fait parler d'elles pour les mauvaises raisons. Cette époque sera bientôt révolue avec la nouvelle génération d'écoles que nous annonçons aujourd'hui. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur

Faits saillants :

Plusieurs principes directeurs guideront la nouvelle génération d'écoles québécoises, notamment :

  • des aires communes favorisant la socialisation et des espaces pédagogiques adaptatifs qui seront au cœur des apprentissages des élèves;
  • des cours d'école et des gymnases modernes conçus de manière à ce que nos jeunes puissent dépenser leur énergie pour mieux apprendre;
  • des bâtiments durables, sécuritaires et entièrement électriques;
  • une utilisation maximale de la lumière naturelle;
  • la présence du bleu fleurdelysé et l'utilisation de l'aluminium sur la façade, la prédominance du bois naturel à l'intérieur et l'affichage d'un visuel unique.

Dans le cadre des travaux d'élaboration du guide, les partenaires ont consulté les différents intervenants du milieu. Par exemple, la Société québécoise des infrastructure (SQI) a mené des ateliers de travail collaboratifs avec des architectes et des membres du personnel scolaire. Ceux-ci ont également préparé un sondage à distribuer aux enseignants et aux élèves à travers le Québec afin de pouvoir tirer le plus de vision possible des futurs usagers des nouvelles écoles.

Le guide de planification immobilière pour les écoles primaires regroupant l'ensemble de ces principes directeurs a été envoyé au réseau scolaire. Il est disponible à l'adresse suivante :
http://www.education.gouv.qc.ca/index.php?id=40870

Un guide est également en cours de rédaction pour les écoles secondaires.

Vous pouvez aussi consulter le feuillet technique Une nouvelle génération d'écoles à l'adresse suivante : 
http://www.education.gouv.qc.ca/index.php?id=40870

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2020/25/c1121.html


MONTRÉAL, le 23 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a fait la déclaration suivante :


« Je tiens à présenter mes excuses sincères à M. Daniel Weinstock pour l'avoir écarté, à titre d'expert, du forum de consultation sur la révision du cours d'éthique et de culture religieuse. Je tiens à affirmer publiquement que le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur souhaite l'entendre de nouveau et j'espère qu'il pourra intervenir et présenter sa conférence et son point de vue en tant qu'expert lors du prochain forum prévu, comme il l'a fait lors du forum de Québec. »


Faits saillants


Le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur a retenu les services de M. Daniel Weinstock pour qu'il fasse une présentation dans le but d'amorcer des discussions sur la place de l'éthique dans le cursus scolaire québécois.

M. Weinstock, qui enseigne à l'Université McGill, nous a apporté, dans le cadre du forum de Québec, un éclairage pertinent et enrichissant en ce qui concerne la place de l'éthique dans le cursus scolaire.

La démarche retenue a pour principal objectif de susciter des échanges entre les participants à ces forums. Rappelons que ces derniers ne visent pas à déterminer les contenus qui seront insérés dans le nouveau programme d'études, mais bien de déterminer quels thèmes devraient y être abordés.

 


Consulter le contenu original : https://www.newswire.ca/fr/news-releases/declaration-du-ministre-de-l-education-et-de-l-enseignement-superieur-m-jean-francois-roberge-892945421.html


SHERBROOKE, QC, le 16 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Si rien n'est fait pour garantir l'indépendance des futurs porte-paroles des centres de services scolaires, l'omertà qui s'est installée dans le réseau de la santé risque de se reproduire dans le milieu de l'éducation, s'inquiète la députée de Sherbrooke et responsable pour Québec solidaire en matière d'éducation, Christine Labrie

En vertu de l'article 90 de la controversée loi 40, les centres de service scolaires appelés à remplacer les commissions scolaires auront désormais pour porte-paroles leurs directeurs généraux, ce qui suscite la vive inquiétude de la députée solidaire. 

« Les fonctionnaires n'ont pas la même liberté de parole que les élu-es. Ils risquent d'être suspendus ou congédiés s'ils remettent en question les décisions ou les orientations de leur ministère. On n'a qu'à penser à l'affaire Louis Robert ou aux nombreux professionnels du réseau de la santé qui ont payé le gros prix dans les derniers mois pour avoir dénoncé leurs conditions de travail difficiles. J'en ai été témoin dans ma circonscription », souligne Mme Labrie

« En matière de transparence, on n'est plus certains d'avoir l'heure juste sur ce qui se passe dans le réseau de l'éducation. Est-ce que les porte-paroles pourront dénoncer des situations problématiques ou remettre en question des décisions du ministère comme pouvaient le faire les élu-es scolaires? Il faut éviter à tout prix que les porte-paroles des centres de services ne deviennent que les porte-paroles du ministre », ajoute-t-elle.

La députée de Sherbrooke demande au ministre de l'Éducation de mettre en place des mécanismes pour garantir la liberté de parole des représentants des centres de services scolaires. 

« C'est essentiel que les personnes qui jouent le rôle de courroie de transmission entre la population et les centres de services scolaires jouissent d'une indépendance totale vis-à-vis du pouvoir politique. J'ai déposé des amendements pour que le porte-parole soit le président du conseil d'administration, mais le ministre n'a rien voulu entendre. Soit il ferme les yeux sur les risques de cette situation, soit il en est très conscient et c'était son intention. Et à voir la façon dont M. Roberge bâillonne les gens qui ne sont pas d'accord avec lui, on a des raisons d'être inquiets  », conclut Mme Labrie.

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2020/16/c8364.html

QUÉBEC, le 17 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, M. Jean‑François Roberge, a profité du lancement montréalais des Journées de la persévérance scolaire pour réaffirmer que le gouvernement du Québec est en action et que l'éducation est une priorité collective. Il a également rappelé que nous avons toutes et tous un rôle à jouer pour valoriser la persévérance scolaire, transmettre le plaisir de lire et d'écrire aux élèves et leur inculquer le goût d'apprendre et de réussir.

Le coup d'envoi de ces Journées a aussi donné l'occasion au ministre de réitérer l'importance de donner toutes les chances aux élèves pour qu'ils s'accomplissent et développent leur plein potentiel. Chacun de nos gestes d'encouragement contribue à la réussite des jeunes. Le ministre a également tenu à remercier les instigateurs de ces journées, soit les Instances régionales de concertation sur la persévérance scolaire et la réussite éducative du Québec (IRC), ainsi que leur porte-parole, M. Laurent Duvernay-Tardif, pour leur implication dans cette cause.

De nombreuses activités auront lieu au cours des Journées de la persévérance scolaire, qui se dérouleront du 17 du 21 février dans toutes les régions, sur le thème Nos gestes, un + pour leur réussite. La population est invitée à participer aux activités proposées ou à poser un geste qui peut changer la vie d'une personne aux études.

Citations :

« Les Journées de la persévérance scolaire nous rappellent que la réussite scolaire des jeunes repose sur la collaboration de chacun d'entre nous. Notre gouvernement poursuit l'objectif de donner à tous les élèves du Québec la possibilité d'aller au bout de leur potentiel. Chaque geste d'encouragement que nous posons contribue à la réussite de chacun d'entre eux. Pour aider les élèves et les étudiants en difficulté, pour leur donner le goût de poursuivre, nous avons tous un rôle à jouer et ce, dès leur plus jeune âge. C'est un travail d'équipe en quelque sorte! »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur

« Le numérique, les approches pédagogiques innovantes, la participation à des activités culturelles et sportives et, surtout, les interventions bienveillantes des enseignants et du personnel scolaire sont des sources de motivation pour les élèves. La découverte d'une passion et l'appartenance à un groupe peuvent grandement influencer leur parcours scolaire. C'est pourquoi nous avons annoncé, en juin dernier, qu'une grande diversité d'activités parascolaires seraient maintenant offertes gratuitement au secondaire, dans le but d'atteindre le plus d'élèves possible. Chaque petit geste compte pour intéresser nos jeunes, les garder sur les bancs d'école et les aider à relever les défis auxquels ils sont confrontés. »

Isabelle Charest, ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine

Faits saillants :

  • Les JPS visent à sensibiliser les différents acteurs de la société à l'importance d'agir ensemble pour favoriser la persévérance scolaire chez les jeunes, de façon qu'ils obtiennent un diplôme ou une qualification. 
  • Les IRC du Québec ont pour mandat de soutenir des organismes travaillant auprès des jeunes, de mobiliser des acteurs régionaux, de développer des partenariats locaux et d'offrir des services aux écoles, aux organismes scolaires, aux entreprises et à la population pour contribuer à l'atteinte des objectifs de persévérance scolaire et de réussite éducative. 

Lien connexe :

Journées de la persévérance scolaire : https://www.journeesperseverancescolaire.com/

2020-02-10 - Ce matin @LouisLacroixQC était à @pqfsl au @985fm... Vous vous êtes fait empissetté par les FAUSSES DÉCLARATION & MENTERIES de @jfrobergeQc sur le #pl40

Écoutez l'audio: https://www.985fm.ca/…/reforme-de-leducation-contestee-alor…

Mais prenez garde... c'est à en donner des hauts-le-coeur.

« Rejeter par à peu près tout le monde? Vous tournez les coins ronds monsieur Lacroix. Ce projet de loi a été demandé par une majorité de Québécois [...] il fallait le faire parce ce qu'en novembre il y aurait des élections, le directeur général des élections aurait engagé des dépenses » — JFR

FAUX. C'est les secrétaires général des commissions scolaires qui organisent les circonscription, les points de votation, etc. Voir Loi sur les élections scolaires art 7.1 à 10.3

« les commissions scolaires avaient un status de mini gouvernement élu... c'était comme un État... il y avait quelque chose de malsain là dedans » — JFR

État? Voyons. Malsain? Voyons.

« Surtout il y avait un paquet de décisions prises par le conseil des commissaires alors que ça devait être pris dans les écoles... Le projet éducatif était approuvé là alors qu'il devait l'étre dans l'école» — JFR

FAUX

«LIP art 74 Le CÉ [...] en tenant compte du plan d'engagement vers la réussite de la CS, il adopte le projet éducatif»

« Le plan de lutte contre l'intimidation... qui relève de l'école. Bien il devait être approuvé en haut. On remet les décisions dans les mains de l'école » — JFR

FAUX

« 75.1. Le CÉ approuve le plan d'intimidation et de lutte contre la violence et son actualisation proposés par le directeur de l'école »

Ont dirait un épisode des pays d'en hauts et le curé qui fait passer une épisode de variole comme une imposition du bon dieu contre les pêcheurs qui consomment de l'alcool!!!!

Sérieusement, 37% des québécois ont donné les clefs du parlement à ça?????

QUÉBEC, le 10 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Les jeunes et les intervenantes et intervenants jeunesse engagés dans leur communauté sont invités à présenter leur candidature pour les prix Reconnaissance jeunesse 2020. Le premier ministre, François Legault, et son adjoint parlementaire pour le volet jeunesse, Samuel Poulin, en ont fait l'annonce aujourd'hui. Par le fait même, ils ont précisé que la troisième remise de prix se déroulerait sous la présidence d'honneur d'Alex Harvey, athlète olympique renommé mondialement en ski de fond et originaire de la région de la Capitale-Nationale. Les personnes qui désirent soumettre une candidature ont jusqu'au 6 mars pour le faire.

Rappelons que les prix Reconnaissance jeunesse récompensent les jeunes de 15 à 29 ans de même que les intervenantes et les intervenants jeunesse qui se sont démarqués par des initiatives exceptionnelles dans l'un des cinq axes d'intervention de la Politique québécoise de la jeunesse 2030, soit la santé, l'éducation, la citoyenneté, l'emploi et l'entrepreneuriat.

À la suite de la période de mise en candidature, les dossiers soumis dans chaque catégorie seront évalués par un comité neutre et interdisciplinaire et selon des critères prédéterminés, en vue de sélectionner les lauréates et lauréats.

Citations :

« Des jeunes brillants, audacieux et engagés en faveur de la société, il y en a énormément au Québec. On peut en dire autant des gens qui travaillent auprès de la jeunesse et qui permettent à celle-ci de s'accomplir et d'aller au bout de ses rêves. Il faut reconnaître l'immense mérite de ces personnes. Pour la troisième année, la remise des prix Reconnaissance jeunesse permettra aux personnalités qui se seront le plus démarquées de voir leurs réalisations reconnues. J'invite les jeunes et les intervenantes et intervenants jeunesse à présenter leur candidature en grand nombre! »

François Legault, premier ministre du Québec

« Tous les jours, le milieu québécois de la jeunesse me rend fier. Mais s'il y a un moment de l'année que j'aime particulièrement, c'est la soirée des prix Reconnaissance jeunesse. C'est qu'elle permet à l'ensemble du Québec de partager cette fierté et d'applaudir les plus belles actions réalisées par la jeunesse québécoise et les personnes qui travaillent auprès de celle-ci. Ce qui rend cette soirée encore plus exceptionnelle, c'est aussi l'immense pouvoir d'inspiration qu'elle donne aux réalisations lauréates pour toute la jeunesse, et même pour tous nos concitoyens et concitoyennes. J'espère que les candidatures seront nombreuses! »

Samuel Poulin, adjoint parlementaire du premier ministre pour le volet jeunesse

Faits saillants :

  • Chacun des cinq axes d'intervention de la Politique représente une catégorie qui récompense deux personnes, soit un jeune de 15 à 29 ans ainsi qu'une intervenante ou un intervenant jeunesse dont l'initiative remarquable a marqué positivement la collectivité, pour un total de dix prix.
  • De plus, le prix Emmett-Johns est remis pour souligner la carrière d'une personne émérite qui travaille auprès des jeunes.
  • Parmi toutes les candidatures jeunesse reçues, un prix Coup de cœur est décerné à une personnalité de la relève dont l'apport a eu une incidence concrète dans la société.
  • Chaque lauréat et lauréate recevra une bourse non imposable, dont la valeur variera de 1 500 $ à 2 000 $.
  • La période de mise en candidature est du 7 février au 6 mars 2020.
  • La troisième cérémonie de remise des prix Reconnaissance jeunesse se tiendra au restaurant Le Parlementaire de l'hôtel du Parlement, à Québec, le 27 mai prochain.

Pour connaître les critères de sélection et accéder au formulaire de mise en candidature :
https://www.jeunes.gouv.qc.ca/secretariat/prix-reconnaissance-jeunesse.asp

QUÉBEC, le 10 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, M. Jean‑François Roberge, a déposé samedi des amendements au projet de loi sur la gouvernance scolaire, qui permettront notamment de mieux répondre aux besoins d'espace dans les écoles du Québec. Ce projet de loi permet notamment de faciliter la réalisation des projets d'agrandissement ou de construction d'établissements scolaires par la cession, à titre gratuit, d'un terrain par une municipalité pour répondre aux besoins des centres de services scolaires sur son territoire.

Le projet de loi sur la gouvernance scolaire précise que les milieux municipal et scolaire devront collaborer dans la planification des besoins d'espace pour les écoles. Ainsi, les centres de services scolaires et les municipalités devront collaborer dans la planification des besoins à long terme (5 ans au primaire et 10 ans au secondaire).

Ainsi, les municipalités et les centres de services scolaires travailleront de concert pour mieux planifier et identifier les terrains qui pourront répondre aux besoins grandissants en infrastructures.

Citations :

« À notre arrivée au gouvernement, nous apprenions que plusieurs élèves risquaient de ne pas avoir de place dans une école, ce qui obligeait notamment certaines commissions scolaires à recourir à l'installation temporaire d'unités modulaires. Devant l'augmentation significative de la demande d'espace, nous avons pris l'engagement de répondre aux besoins en infrastructures scolaires. Avec le projet de loi sur la gouvernance scolaire, les projets d'agrandissement ou de construction d'établissements d'enseignement seront grandement facilités et ne devraient plus avoir de retard en lien avec la disponibilité des terrains. Je suis convaincu que ces nouvelles façons de faire auront des répercussions très positives, au bénéfice des enfants et des familles du Québec. »                         

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur

« Parce qu'elles jouent un rôle de premier plan dans l'aménagement du territoire, les municipalités sont avantageusement positionnées pour favoriser une implantation judicieuse des écoles, qui réponde aux besoins des familles qui décident de s'installer sur leur territoire. Cette évolution de la relation entre le milieu municipal et le milieu de l'éducation sera bénéfique pour toutes les régions du Québec. »                

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l'Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

Faits saillants :

  • Le processus de collaboration entre les milieux municipal et scolaire est défini par la loi et prévoit que les centres de services scolaires doivent transmettre les prévisions de clientèles aux municipalités concernées. L'élaboration d'un plan de match pour répondre aux besoins devra par la suite se faire conjointement. Pour chacun des besoins nécessitant un ajout d'espace, un terrain devra être identifié et cédé par la municipalité après un délai de deux ans ou dans le délai dont les parties conviendront entre elles.
  • Pour les terrains qui sont source de problèmes ou pour ceux devant être acquis dans un délai inférieur à deux ans, une solution transitoire est prévue : le ministre pourra demander la cession d'un terrain pour un centre de services selon l'urgence du besoin et l'état de la situation.
  • Si un centre de services scolaires souhaite se départir d'un terrain cédé gratuitement, la municipalité détiendra un droit de premier refus.
  • En plus des modifications mentionnées précédemment, les amendements au projet de loi prévoient des modalités de partage des infrastructures scolaires avec le milieu municipal dans le but de favoriser leur usage au bénéfice des citoyens.
  • Avant l'entrée en vigueur du projet de loi, aucune règle n'encadrait l'acquisition de terrains par une commission scolaire. Ainsi, les commissions scolaires s'endettaient ou procédaient à des échanges pour réussir à mettre en œuvre leur projet d'agrandissement ou de construction d'un bâtiment scolaire.

 

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2020/10/c0930.html

QUÉBEC, le 10 févr. 2020 /CNW Telbec/ - Le caucus des députés de la CAQ de la région de la Capitale-Nationale se réjouit de l'adoption du projet de loi no 40 Loi modifiant principalement la Loi sur l'instruction publique relativement à l'organisation et à la gouvernance scolaires par l'Assemblée nationale du Québec.

Le projet de loi abolit les élections scolaires, transforme les commissions scolaires en centres de services scolaires et officialise une décentralisation importante de la prise de décision vers celles et ceux qui connaissent les élèves par leur nom.

Le vote des parlementaires permettra la mise en œuvre de la nécessaire modernisation de la gouvernance scolaire, dans un contexte où les dernières élections scolaires ont été marquées par un taux d'abstention record de 95 %.

Le mandat actuel des commissaires scolaires francophones prend fin immédiatement, après quoi s'enclenchera une période de transition, menée par les directeurs généraux des commissions scolaires, et ce, jusqu'à la désignation des membres des conseils d'administration des centres de services scolaires.

Le projet de loi instaure également d'importantes dispositions contribuant à reconnaître l'expertise professionnelle des enseignantes et enseignants du Québec ainsi que la participation essentielle des parents aux différentes instances décisionnelles.

Les députés de notre formation représentant les citoyens de la Capitale-Nationale se chargeront d'assurer un lien direct avec le ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur tout au long du processus de modernisation pour assurer une mise en place réussie des centres de services de la région. Une équipe du Ministère accompagnera également le réseau scolaire durant cette période.

Citations :

« Tous les députés du caucus de la région de la Capitale-Nationale, dont je fais partie, se réjouissent de l'adoption du projet de loi sur la gouvernance scolaire par l'Assemblée nationale. Je suis fier que notre gouvernement ait eu le courage d'aller de l'avant avec la nécessaire modernisation de la gouvernance scolaire. Aujourd'hui, une nouvelle ère remplie de possibilités s'ouvre pour le réseau scolaire, ici et partout au Québec. Nos concitoyens pourront compter sur nous tous pour maintenir un lien constant entre notre communauté et notre collègue le ministre de l'Éducation afin de réussir la transition vers une gouvernance scolaire moderne et axée sur les besoins de nos élèves. »

Jonatan Julien, ministre de l'Énergie et des Ressources naturelles, ministre responsable de la Côte-Nord et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale suppléant

« Avec le vote de l'Assemblée nationale aujourd'hui, les élèves pourront sous peu compter sur une réelle gouvernance scolaire de proximité, moins bureaucratique et, surtout, centrée sur leurs besoins et leur réussite. Dès demain, je me remettrai au travail avec les directeurs généraux, les directions d'établissement, les parents, les enseignants et tous les autres membres du personnel scolaire, de même qu'avec l'ensemble des partenaires du réseau scolaire québécois, afin d'assurer une mise en place réussie des centres de services scolaires, et ce, à temps pour la prochaine rentrée scolaire. »

Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur

Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/February2020/10/c8625.html



Une cité de l'innovation carboneutre à échelle humaine

LAVAL, QC, le 3 févr. 2020 /CNW Telbec/ - La Ville de Laval dévoile aujourd'hui un important projet de revitalisation et de développement du secteur communément appelé le « Carré Laval », un territoire de près de 4 millions de pieds carrés situé au centre-ville de Laval et délimité par l'autoroute des Laurentides (A15), le boulevard du Souvenir, le boulevard Daniel-Johnson et le boulevard Saint-Martin Ouest. 

À terme, le Carré Laval deviendra un milieu de vie à échelle humaine, carboneutre, animé et attrayant. Ce projet d'envergure répond à la volonté de Laval de se doter d'un lieu novateur, distinctif et inclusif dans l'optique d'accroître la prospérité de la ville et d'y attirer les gens de talent de tous horizons. 

Le dévoilement ainsi que l'annonce d'un soutien financier majeur par Québec ont été faits en présence du maire de Laval, Marc Demers, du ministre de l'Économie et de l'Innovation et député de TerrebonnePierre Fitzgibbon, du ministre des Finances et ministre responsable de la région de Laval et député de Groulx, Eric Girard, et du député de Sainte-RoseChristopher Skeete.

« Laval est fière d'être parmi les premières villes à promouvoir un projet innovant et carboneutre de cette envergure qui mise sur une planification urbanistique de l'espace public dans un cadre évolutif. Le Carré Laval constitue un aménagement urbain distinct. La Ville veut créer un climat accueillant, chaleureux, confortable, sécuritaire et animé pour les entreprises, les travailleurs, les étudiants, les citoyens de Laval et les visiteurs, et ce, de façon à leur transmettre l'envie de s'y attarder, et d'y revenir.»

Marc Demers, maire de Laval 

Un appui gouvernemental majeur pour la concrétisation du projet

Afin de mettre en place le premier jalon de la réalisation de ce projet, dont l'exécution débutera en 2020, le gouvernement du Québec a annoncé qu'une aide financière pour la période 2020-2024 de 10 millions de dollars a été consentie à la Ville de Laval pour la décontamination, le réaménagement, la revalorisation ou la mise à niveau des terrains du secteur ainsi que pour l'élaboration d'une planification pluriannuelle. Cette contribution a pour objectif de favoriser les investissements et la commercialisation par le rapprochement des activités de recherche, d'innovation et d'entrepreneuriat au sein d'un environnement attrayant et de qualité. 

« Ce projet représente une occasion unique de croissance économique pour la région de Laval. Il créera des conditions favorables aux investissements privés et à l'arrivée d'entreprises et de centres de recherche de pointe, qui cohabiteront dans un milieu de vie attrayant et générant des répercussions positives sur l'ensemble du Québec et à l'international. C'est la vision gouvernementale des zones d'innovation, stratégiquement situées, qui prend maintenant forme et qui donnera un nouvel essor au Québec dans cette économie du 21esiècle. »

Pierre Fitzgibbon, ministre de l'Économie et de l'Innovation et ministre responsable de la région de Lanaudière

« La valorisation du Carré Laval est une étape importante du développement économique et social de Laval, une ville qui est appelée à croître considérablement au cours des prochaines années. Pour assurer sa prospérité, la région doit, entre autres, miser sur la collaboration entre les Lavallois, le milieu de l'entrepreneuriat et celui de la recherche. »

Eric Girard, ministre des Finances et ministre responsable de la région de Laval

Un lieu d'innovation vivant 

Des établissements d'enseignement, des entreprises établies et en démarrage cohabiteront au sein du Carré Laval pour en faire un lieu d'expérimentation et de collaboration qui permettra de propulser une croissance économique propre et durable au sein d'un milieu de vie mixte. À ce jour, près de 20 acteurs des milieux scolaire et institutionnel ont signifié leur intérêt à participer activement au projet. Ceux-ci sont notamment actifs dans les domaines du développement durable, de l'économie, de la mobilité ainsi que l'instauration de pratiques novatrices sur les plans social, scientifique et culturel.

Un projet de zone d'innovation de calibre international

Tout en étant un projet évolutif dans le cadre des zones d'Innovation du gouvernement du Québec, la Ville de Laval exprime sa volonté de lui soumettre le projet du Carré Laval. Évolutif et ambitieux, ce projet sera planifié et réalisé en parfaite adéquation avec les grandes orientations de la vision stratégique Laval 2035 : urbaine de nature et du programme particulier d'urbanisme du centre-ville, dont l'élaboration aura lieu au cours de la prochaine année. L'aménagement du Carré Laval comprend plusieurs composantes naturelles, dont un magnifique plan d'eau et une falaise comme éléments vedettes. Un accent particulier sera mis sur la carboneutralité alors que le secteur sera un environnement sans voiture, où la mobilité active sera mise de l'avant. 

Pour en savoir plus sur ce projet : 

https://www.laval.ca/Pages/Fr/A-propos/carre-laval.aspx

Visionnez le vidéo sur le projet Carré Laval : 

https://www.laval.ca/Pages/Fr/A-propos/carre-laval.aspx

Consultez le communiqué en ligne : 

https://www.laval.ca/Pages/Fr/Nouvelles/devoilement-carre-laval.aspx

SOURCE Ville de Laval