Au fil de l'avancement de travaux et de la mise en place de mesures concrètes, le gouvernement du Québec, en collaboration avec les partenaires autochtones concernés, continue de travailler pour répondre aux enjeux soulevés par le Principe de Joyce, qui énonce le besoin de « garantir à tous les Autochtones un droit d'accès équitable, sans aucune discrimination, à tous les services sociaux et de santé. »
Aussi, la communauté de Manawan a récemment proposé, pour honorer la mémoire de Mme Echaquan, de rebaptiser en son nom la réserve de biodiversité projetée du Lac-Némiscachingue. Le gouvernement du Québec entamera prochainement les travaux nécessaires pour changer le nom de la réserve. La famille de Mme Echaquan et la communauté de Manawan ont été informées de l'intention du gouvernement.
Citations :
« En cette triste journée, l'ensemble du Québec a un devoir de mémoire à l'égard de Joyce Echaquan, qui a été arrachée à ses proches prématurément et dans des circonstances inacceptables. Mes pensées sont pour sa famille et les membres de sa communauté. Je profite également de l'occasion pour inviter la population à en apprendre davantage sur les réalités des Autochtones du Québec. Réfléchissons ensemble à la façon de déconstruire les préjugés. J'ai espoir que nous pourrons ensuite établir les bases d'un mieux-vivre ensemble et éviter ainsi que d'autres tragédies semblables ne se reproduisent dans le futur. »
Ian Lafrenière, ministre responsable des Affaires autochtones
« Il y a un an déjà, les citoyens du Québec témoignaient avec stupéfaction de l'ampleur du problème de discrimination envers les Autochtones dans certaines de nos institutions. Peu importe notre langue, notre culture, notre religion ou nos convictions personnelles, nous avons tous le devoir moral de passer à l'action lorsque l'on témoigne d'un acte répréhensible envers une personne vulnérable. Ensemble, assurons-nous que la suite d'événements qui a mené au décès de Joyce Echaquan ne puisse plus se reproduire et que le blason du Québec ne soit plus jamais terni par de telles injustices. »
Benoit Charette, ministre responsable de la Lutte contre le racisme
Lien pertinent :
www.facebook.com/AutochtonesQc
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/28/c7138.html
Selon les informations reçues, des personnes auraient copié le visuel développé pour l'application VaxiCode et auraient réussi à faire approuver ces fausses applications pour téléchargement sur Google Play. Dès que le MSSS a été mis au fait de cette situation, des démarches ont été faites auprès de Google afin de faire retirer les fausses applications dans les plus brefs délais.
Il est important de mentionner que cette situation n'est pas liée à un problème d'intégrité ou de sécurité avec les applications officielles VaxiCode et VaxiCode Verif. Celles-ci sont sécuritaires et permettent d'assurer la protection des renseignements personnels.
Ce type de copies d'applications populaires est une problématique de plus en plus fréquente. Ainsi, le citoyen doit assurer une vigilance pour s'assurer de télécharger l'application officielle légitime. Les critères suivants permettent de s'en assurer :
Faits saillants :
Lien connexe :
Pour obtenir de l'aide à propos de VaxiCode ou pour télécharger les applications sur l'App Store et Google Play, consultez la page Aide pour VaxiCode.
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/25/c1010.html
Le projet de loi avait été adopté par l'Assemblée nationale en juin dernier. Cette loi vise à élargir la couverture d'assurance maladie et médicaments aux enfants nés de parents au statut migratoire précaire, non admissibles jusqu'ici et habituellement présents sur le territoire québécois. Ainsi, ces enfants seront dorénavant admissibles à une couverture, qu'ils soient nés au Québec ou non. De telles mesures auront un effet positif sur la vie d'environ 4 500 enfants chaque année.
De plus, cette loi abolira le délai de carence pour tous les enfants mineurs, permettant ainsi à près de 10 000 d'entre eux chaque année de bénéficier de l'assurance maladie du Québec plus tôt.
Citations :
« Les changements qui entrent en vigueur aujourd'hui permettront d'offrir à tous les enfants du Québec un meilleur accès aux services fournis par notre système public de santé et de services sociaux, sans discrimination fondée sur le statut de leurs parents. Il s'agit d'une étape importante, qui s'inscrit dans l'ensemble de nos efforts afin d'augmenter significativement la santé et le bien-être de tous les enfants qui se trouvent sur le territoire québécois. »
Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux
« Les valeurs d'équité et de solidarité ont guidé la réflexion et les travaux qui ont mené à cette initiative. Je suis très heureux qu'enfin, chaque enfant puisse avoir accès gratuitement aux soins et aux services de santé dont il a besoin. Nous nous donnons ainsi les moyens de favoriser le développement de nombreux enfants. »
Jean Boulet, ministre du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale et ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration suppléant
Faits saillants :
Rappelons que l'initiative de proposer cette loi fait suite à la publication d'un rapport du Protecteur du citoyen, qui recommandait que tous les enfants nés au Québec soient couverts par l'assurance maladie, et aux travaux d'un comité interministériel qui s'est penché sur cette question.
Les enfants concernés par cette loi sont notamment ceux qui accompagnent leurs parents au Québec lorsque ces derniers :
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/22/c8747.html
À cet effet, celles et ceux qui désirent proposer la candidature d'une personne qui se distingue par sa participation exceptionnelle au rayonnement de l'enseignement québécois ont jusqu'au 24 septembre 2021 pour soumettre le formulaire approprié, dûment rempli. Chaque candidature sera évaluée par le Conseil de l'Ordre de l'excellence qui, annuellement, recommande au ministre au plus 60 personnes pour l'ensemble des titres.
Rappelons que l'Ordre a été institué en 2018 et que ses décorations sont décernées à des personnes actives dans le domaine de l'éducation : de la petite enfance à l'université, au privé comme au public, dans toutes les régions. L'Ordre comprend trois grades, soit ceux de membre, de membre distingué et de membre émérite, ses membres pouvant ainsi progresser et être récompensés plus d'une fois pour leur contribution à l'avancement de l'éducation au Québec.
Les récipiendaires de la deuxième cohorte de l'Ordre sont présentés en annexe de ce communiqué.
Citations :
« La valorisation de l'éducation et de celles et ceux qui contribuent à la qualité de notre système éducatif me tient à cœur. Je remercie sincèrement chacune des personnes ayant été sélectionnées, et il me tarde de leur remettre leurs décorations de nouveaux membres de l'Ordre. J'invite les parents, le personnel des écoles et des centres, les directions ainsi que les citoyennes et citoyens qui souhaitent, comme moi, que l'éducation soit vraiment une priorité à proposer la candidature d'une personne d'exception dans le cadre de l'appel de candidatures en cours. Il est de notre devoir à tous de veiller à ce que ces personnes soient reconnues à leur juste valeur : c'est grâce à elles que nos enfants, nos adolescents et les adultes peuvent apprendre et s'épanouir dans des milieux scolaires remarquables. »
Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation
« Je remercie les 22 membres de la cohorte 2019. Il y a dans nos écoles une foule de personnes dévouées et qualifiées qui permettent à nos jeunes de s'épanouir dans leur milieu scolaire. Merci à toutes celles et à tous ceux qui transmettent leur passion, que ce soit pour la musique, l'histoire, le sport ou le théâtre. Votre rôle est essentiel pour la motivation et le sentiment d'appartenance de nos élèves. Nous sommes fiers de vous, de votre réussite et de votre implication dans les écoles du Québec. À votre manière, vous faites rayonner l'éducation au Québec. »
Isabelle Charest, ministre déléguée à l'Éducation et ministre responsable de la Condition féminine
« L'Ordre de l'excellence en éducation est une décoration qui permet de reconnaître la précieuse contribution de femmes et d'hommes dans nos réseaux, que ce soit dans les écoles primaires ou secondaires, les établissements collégiaux ou les universités. Je félicite les nouveaux membres pour leur nomination et je serai heureuse de les remercier en personne au moment de la cérémonie de l'automne. Je profite de l'occasion pour inviter toutes celles et tous ceux qui connaissent une personne d'exception ayant contribué à l'éducation à soumettre une candidature dans le cadre du nouvel appel. »
Danielle McCann, ministre de l'Enseignement supérieur
Faits saillants :
Lien connexe :
https://www.quebec.ca/gouvernement/reconnaissance-prix/education/ordre-excellence-education
Annexe
Liste des 22 nouveaux membres de l'Ordre de l'excellence en éducation du Québec
Membres
Raymond Bédard
Enseignant d'histoire en 4e secondaire
École d'éducation internationale de McMasterville
David Bowles
Directeur général
Collège Charles-Lemoyne
Michael Canuel
Directeur général
LEARN
Ginette Côté
Présidente du conseil des commissaires
Commission scolaire de l'Estuaire
Josée Crête
Enseignante de musique
École secondaire Le boisé
Marc Deschamps
Directeur du Département de musique
Collège Notre-Dame
Claude Gagnon
Professeur de guitare classique
Cégep de Sainte-Foy
France Henri
Professeure honoraire
Université TÉLUQ
Sylvain Lagacé
Technicien en loisirs
École secondaire De Mortagne
Audrey Miller
Directrice générale
École branchée
Lori-Ann Paige
Coordonnatrice des programmes en petite enfance
chez les Premières nations et Inuit
Cégep de Saint-Félicien
Jean-François Roy
Enseignant et coordonnateur du programme ASP Lancement d'une entreprise
Centre de formation professionnelle Maurice-Barbeau
Édouard Staco
Président
Fonds 1804 pour la persévérance scolaire
Membres distingués
Christian Bourdy
Médecin de famille et professeur agrégé de clinique
Université de Montréal
Pierre Brouillette
Enseignant (rééducation pour adolescents)
Pavillon Albert-Prévost de l'Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
Monique Cormier
Vice-rectrice associée à la langue française et à la francophonie
Université de Montréal
Frank Greene
Professeur retraité
Université McGill
Thérèse Laferrière
Professeure titulaire
Université Laval
Louise Poirier
Professeure titulaire
Université de Montréal
Louise Richer
Fondatrice et directrice générale
École nationale de l'humour
Membres émérites
Andrée Boucher
Chercheuse investigatrice et directrice médicale de
l'Équipe interprofessionnelle du cancer de la thyroïde
Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM)
Pauline Marois
Première ministre de 2012 à 2014 et ministre de l'Éducation de 1996 à 1998
Gouvernement du Québec
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/20/c5603.html
QUÉBEC, le 17 sept. 2021 /CNW Telbec/ - Les élections générales municipales débutent aujourd'hui, et des règles particulières s'appliquent en matière de contrôle des dépenses électorales. Ces règles sont plus étoffées dans les 189 municipalités de 5 000 habitants ou plus ainsi que dans les 18 municipalités régionales de comté (MRC) où la préfète ou le préfet est élu au suffrage universel.
Le contrôle des dépenses électorales
Dans les municipalités de 5 000 habitants ou plus et les MRC, la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités prévoit d'importantes règles pour contrôler les dépenses électorales des partis politiques et des personnes candidates. Ce contrôle se fonde sur quatre principaux éléments :
Deux valeurs sous-tendent cet encadrement : l'équité et la transparence. D'une part, la Loi limite, au cours de la période électorale, l'influence de l'argent dans le débat politique dans le but d'offrir une chance égale à toutes les personnes candidates. Elle accorde ainsi une place prédominante aux personnes candidates et aux partis politiques, puisque les entreprises et les groupes d'intérêt, tout comme les citoyennes et les citoyens, ne peuvent intervenir qu'à coût nul dans le débat électoral afin de ne pas porter atteinte à l'équité recherchée. D'autre part, dans un souci de transparence, la Loi prévoit que les dépenses électorales sont de nature publique afin de maintenir la confiance de l'électorat. Ainsi, chaque agent officiel ou agente officielle d'un candidat indépendant ou d'un parti politique devra faire état de ses dépenses électorales à la trésorerie de la municipalité au plus tard le 7 février 2022.
Le financement politique
Au Québec, seul un électeur ou une électrice peut faire une contribution politique. Les personnes morales, comme les entreprises, les associations et les syndicats, ne peuvent en aucun temps contribuer au financement des partis politiques et des personnes candidates. Elles ne peuvent ni faire un don en argent ni offrir un service ou un bien gratuitement.
Pour limiter l'influence de l'argent, un plafond de contribution annuelle est également imposé à tous les électeurs et électrices. Ces derniers peuvent verser jusqu'à 100 $ par année à chaque parti politique et candidat indépendant autorisé dans leur municipalité, auxquels s'ajoutent jusqu'à 100 $ additionnels au cours de l'année des élections générales ou à l'occasion d'une élection partielle. Toute contribution de plus de 50 $ doit être faite par chèque ou par carte de crédit.
Alors que la limite annuelle de contribution était de 1 000 $ il y a 10 ans, elle a été abaissée au fil des ans et, en contrepartie, la part du financement politique provenant des municipalités a augmenté.
Sources de financement politique provenant des municipalités
Ce financement public provient essentiellement de trois sources. Dans les municipalités de 5 000 habitants et plus et les MRC assujetties aux règles de financement, les dépenses électorales d'une personne candidate qui a été élue ou qui a obtenu au moins 15 % des votes peuvent être remboursées par la municipalité à hauteur de 70 %, sous certaines conditions.
Dans les municipalités de 20 000 habitants ou plus, une allocation annuelle est également versée à tous les partis politiques ayant obtenu au moins 1 % des votes lors des dernières élections générales. De plus, l'année d'élections générales ou pendant une élection partielle, un montant de 2,50 $ est accordé aux partis politiques et aux personnes candidates indépendantes autorisées pour chaque dollar amassé à titre de contribution d'électeurs, jusqu'à concurrence d'un montant maximal. Il en va de même dans les MRC de 20 000 habitants ou plus qui sont assujetties aux mêmes règles de financement.
Qu'en est-il des règles dans les municipalités de moins de 5 000 habitants?
Dans les municipalités de moins de 5 000 habitants, la loi prévoit que les dépenses engagées par une personne candidate pour la campagne électorale doivent être payées à l'aide de dons. Il n'y a toutefois aucune limite à ces dépenses. Par ailleurs, il n'est pas nécessaire d'être un électeur ou une électrice de la municipalité pour faire un don : toute personne physique peut donner jusqu'à 200 $ à chaque personne candidate. Les personnes morales ne peuvent toutefois pas contribuer, tout comme dans les plus grandes municipalités. Après l'élection, chaque personne candidate devra transmettre, à la trésorière ou au trésorier de la municipalité, la liste de ses donateurs dont le total des dons est de plus de 50 $ ainsi qu'un rapport de toutes les dépenses ayant trait à son élection.
Il n'existe pas de parti politique dans les municipalités de moins de 5 000 habitants, mais les candidates indépendantes et les candidats indépendants peuvent se regrouper en équipes reconnues par la présidente ou le président d'élection.
Et le contexte de la pandémie, dans tout ça?
Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, Élections Québec a élaboré, en collaboration avec le ministère de la Santé et des Services sociaux, un protocole sanitaire en matière d'autorisation, de financement politique et de dépenses électorales. Voici quelques exemples de mesures qui s'appliquent dans les municipalités de 5 000 habitants et plus :
Pour en savoir plus
Le site Web d'Élections Québec présente plus d'information sur le financement politique et le contrôle des dépenses électorales. Le Protocole sanitaire visant à réduire les risques de propagation de la COVID-19 lors de la tenue de l'élection générale municipale du 7 novembre 2021 en matière d'autorisation, de financement politique et de dépenses électorales peut aussi y être consulté.
Le site Web www.electionsmunicipales.quebec fournit plus d'information sur le processus électoral municipal.
À propos d'Élections Québec
Élections Québec est une institution neutre et indépendante qui a pour mission d'assurer l'intégrité, la transparence et la fiabilité des élections et de promouvoir les valeurs démocratiques québécoises. En plus d'assurer le bon déroulement des élections provinciales, Élections Québec appuie les municipalités dans l'organisation de leurs élections et veille à l'application des règles sur le financement politique. L'institution agit également comme poursuivant public afin d'assurer le respect des lois électorales québécoises.
Consulter le contenu original pour télécharger le multimédia : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/17/c2542.html
QUÉBEC, le 16 sept. 2021 /CNW Telbec/ - La population québécoise peut désormais consulter sur le site Internet de l'Assemblée nationale les rapports de dépenses des députées et députés produits au cours du dernier exercice financier. L'Assemblée nationale poursuit ainsi son virage vers une plus grande transparence, puisqu'elle a amorcé l'exercice, en 2019, avec la divulgation des dépenses liées aux activités interparlementaires et internationales ainsi qu'avec des documents reliés aux activités du Bureau de l'Assemblée nationale.
« La transparence est la clé pour maintenir la confiance des citoyennes et citoyens envers nos institutions. Les nouvelles pratiques annoncées aujourd'hui ne peuvent que contribuer à cet état d'esprit », a déclaré le président, M. François Paradis.
En 2019, le président a confié au comité sur les conditions de travail et les diverses allocations versées aux députés le mandat d'entamer une réflexion sur la transparence à l'Assemblée nationale, notamment en ce qui a trait à la divulgation des dépenses des parlementaires et des cabinets de l'Assemblée nationale. À la suite des recommandations de ce comité, présidé par le premier vice-président de l'Assemblée, M. Marc Picard, le Bureau de l'Assemblée nationale a adopté des règles qui prévoient la publication annuelle sur le site Internet de l'institution d'un rapport de dépenses pour chaque députée et député, et chaque titulaire de cabinet de l'Assemblée nationale. Ces règles ont été intégrées aux dispositions 128.1 à 128.6 du Règlement sur les allocations aux députés et aux titulaires de cabinet et sur les sommes versées à des fins de recherche et de soutien. Il faut savoir que les dépenses effectuées par les parlementaires sont payées à même les budgets et allocations qui leur sont alloués par l'Assemblée nationale pour l'exercice de leurs fonctions.
L'administration de l'Assemblée nationale emboîte également le pas en divulguant ses dépenses et plusieurs autres renseignements administratifs, comme adopté dans son Plan stratégique 2019-2023, et ce, bien qu'elle ne soit pas assujettie au Règlement sur la diffusion de l'information et sur la protection des renseignements personnels, applicable aux ministères et organismes. Ainsi, les dépenses administratives comme les contrats, les frais de déplacement du personnel, les frais d'accueil, les dépenses en formation, ainsi que les dépenses pour l'octroi de contrats de publicité, paraîtront une première fois sur le site Internet de l'Assemblée nationale et viseront l'exercice financier 2020-2021. Par la suite, la diffusion des dépenses administratives sera faite de façon trimestrielle.
Source :
Béatrice Zacharie
Conseillère en communication et relations médias
Assemblée nationale du Québec
Téléphone : 418 808-4102
Courriel : beatrice.zacharie@assnat.qc.ca
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/September2021/16/c7348.html
Rappelons qu'à l'issue de la période de mise en candidature, qui s'est déroulée du 13 au 22 août derniers, 13 postes ont été pourvus sans opposition et 1 poste de commissaire est toujours vacant à la commission scolaire New Frontiers. L'élection pour ce poste sera reprise à une date ultérieure. De plus, la plupart des postes avaient été pourvus sans opposition à l'automne 2020, alors que les élections scolaires dans les commissions scolaires anglophones avaient été suspendues après la période de mise en candidature en raison de la pandémie de COVID-19.
Comment vérifier son inscription sur la liste électorale?
Les personnes inscrites sur la liste électorale qui peuvent voter pour le poste de commissaire de leur circonscription ou le poste de présidente ou de président de leur commission scolaire ont reçu un avis d'inscription par la poste. Pour pouvoir voter, une électrice ou un électeur qui n'a pas reçu cet avis ou dont le nom ne s'y trouve pas doit s'inscrire sur la liste électorale ou modifier son inscription avant le mardi 7 septembre à 22 h.
Les lieux, les dates et les heures de révision se trouvent sur l'avis postal d'inscription ou auprès de la commission scolaire anglophone.
Coordonnées des commissions scolaires anglophones en élection
Commission scolaire anglophone | Coordonnées de la présidente ou du président d'élection |
English-Montréal | Nicholas Katalifos |
Lester-B.-Pearson | Rosemary Murphy |
Sir-Wilfrid-Laurier | Clifford Buckland |
Dans le contexte de la pandémie, les mesures sanitaires en vigueur, dont le port du couvre-visage et la distanciation physique, doivent être respectées dans tous les lieux de révision et de vote.
Qui peut voter à ces élections?
Pour être une électrice ou un électeur à ces élections, une personne doit remplir les conditions suivantes en date du 26 septembre 2021 :
De plus, elle doit remplir l'une ou l'autre de ces conditions :
À propos d'Élections Québec
Élections Québec est une institution neutre et indépendante qui a pour mission d'assurer l'intégrité, la transparence et la fiabilité des élections et de promouvoir les valeurs démocratiques québécoises.
À l'occasion des élections scolaires, l'institution offre un service-conseil aux présidentes et aux présidents d'élection des commissions scolaires anglophones, qui sont responsables de l'organisation des élections sur leur territoire. Elle assure également le contrôle du financement politique et des dépenses électorales des personnes candidates à ces élections, en collaboration avec les directeurs généraux de ces commissions scolaires, à qui elle offre aussi un service-conseil. De plus, elle a le mandat de faire enquête et de poursuivre les personnes contrevenantes en cas de non-respect de la loi.
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Un endroit où il est possible de penser, de réfléchir... car c'est une des dernières activités qui n'est pas taxée... pas encore