LAVAL, QC, le 20 nov. 2019 /CNW Telbec/ - Le ministère des Affaires municipales et de l'Habitation (MAMH), la Ville de Laval et le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Laval ont signé deux ententes sectorielles visant à favoriser le développement social ainsi qu'à contribuer à la lutte contre la pauvreté et l'exclusion dans la région.
Une somme de près de 6,1 M$ sera consentie pour la réalisation de l'entente qui permettra la mise en œuvre de la Politique régionale de développement social de Laval 2019-2022. En plus de soutenir des initiatives en lien avec le plan d'action de cette politique, l'entente facilitera les échanges entre les acteurs régionaux en vue de favoriser le partage des connaissances et le potentiel de développement des communautés.
Par ailleurs, une somme de plus de 3,8 M$ sera consacrée à l'entente sectorielle en matière de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale 2019-2022. Celle-ci vise entre autres à réaliser des projets, à permettre le déploiement de démarches de revitalisation urbaine et à favoriser la concertation entre les intervenants afin de trouver des solutions communes à cette problématique.
Les deux ententes visent à financer des initiatives dont les objectifs sont, entre autres, de diminuer les inégalités, de favoriser l'inclusion des personnes en situation de vulnérabilité et le bien-être des communautés ainsi que de contribuer au développement de quartiers à l'échelle humaine. Elles ont également été élaborées pour favoriser la concertation et la cohérence des actions.
Citations :
« En soutenant ces deux ententes sectorielles de développement par le biais du Fonds d'appui au rayonnement des régions, notre gouvernement répond aux priorités établies par les élus régionaux. Ainsi, il favorise le développement harmonieux et équitable des milieux de vie et du potentiel des collectivités. »
Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l'Habitation
« Ces ententes permettront de soutenir les citoyens aux prises avec des problèmes de pauvreté. Cette démarche est tout à l'honneur des organisations et je les en félicite. »
Éric Girard, ministre des Finances et ministre responsable de la région de Laval
« Les effets positifs engendrés par ces initiatives contribueront à améliorer la santé et le bien-être des personnes en situation de vulnérabilité de Laval. Ce sont non seulement les personnes touchées qui en bénéficieront, mais également leur famille et leur entourage. »
Christopher Skeete, député de Sainte-Rose
« Dans sa vision stratégique Laval 2035, la Ville a pris l'engagement d'agir en leader du développement social et culturel. La signature de ces deux ententes sectorielles nous permettra de concrétiser davantage cette volonté en multipliant les initiatives et en agissant de façon concrète pour améliorer la qualité de vie des Lavalloises et des Lavallois. »
Marc Demers, maire de la Ville de Laval
« Ces ententes nous permettront de mettre en place des projets pour lutter contre les inégalités sociales et de santé. Elles contribueront assurément à la mise en place de conditions permettant à la collectivité d'atteindre son plein potentiel. »
Christian Gagné, président-directeur général du Centre intégré de santé et de services sociaux de Laval
Faits saillants :
Liens connexes :
Fonds d'appui au rayonnement des régions : www.mamh.gouv.qc.ca/developpement-territorial/programmes/fonds-dappui-au-rayonnement-des-regions-farr/farr/.
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SOURCE Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l'Habitation
QUÉBEC, le 21 nov. 2019 /CNW Telbec/ - Plus tôt aujourd'hui, au Musée national des beaux-arts du Québec, avait lieu la 23e édition des prix de reconnaissance Essor.
Le député de Richelieu et adjoint parlementaire du ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur (volet formation professionnelle), M. Jean-Bernard Émond, au nom du ministre Jean‑François Roberge, et le député de Saint-Jean et adjoint parlementaire de la ministre de la Culture et des Communications (volet communications), M. Louis Lemieux, au nom de la ministre Nathalie Roy, ont procédé à la remise des prix lors de la cérémonie.
Les prix de reconnaissance Essor soulignent l'excellence et l'originalité de projets artistiques et culturels réalisés dans les écoles québécoises. Ils permettent de reconnaître l'engagement des enseignantes et enseignants, du personnel scolaire et de leurs partenaires du milieu culturel dans le but de faire rayonner la qualité de leur travail et de mettre en valeur le talent et la créativité des jeunes.
Soulignons que la formule du concours a été renouvelée cette année et que vingt prix ont été remis.
Le Grand prix national
L'école Curé-Antoine-Labelle de la Commission scolaire de Laval a remporté le Grand prix national, soit une bourse de 10 000 $ ainsi que la réalisation et la diffusion d'une capsule vidéo sur le site Web « La Fabrique culturelle » de Télé-Québec. Ce prix récompense un projet exceptionnel, qui répond à l'ensemble des critères des prix de reconnaissance Essor.
Citations :
« Les jeunes qui s'impliquent dans la réalisation d'un projet culturel sont doublement gagnants : ils ont la chance de mettre à profit leur créativité et cela favorise leur motivation et leur persévérance scolaire. Je suis très heureux de constater que la culture rayonne dans les écoles partout à travers le Québec. Je félicite les lauréats des prix de reconnaissance Essor et je souligne la qualité du travail accompli par les élèves, les enseignants, les responsables scolaires, et les partenaires du milieu culturel qui ont participé ou collaboré à la réalisation d'un projet culturel. »
Jean-François Roberge, ministre de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur
« La jeunesse, c'est l'avenir du Québec et il est essentiel de donner aux élèves des outils qui stimulent leur imagination et leur esprit critique, et développent leur créativité et leur personnalité. Je félicite chaleureusement les jeunes finalistes et je remercie vivement les pédagogues, les enseignantes et enseignants, les organismes culturels, les artistes, les écrivains et tous les partenaires qui, en s'investissant dans des projets culturels destinés aux jeunes, nous montrent qu'ils reconnaissent les liens indissociables qui unissent l'éducation et la culture. »
Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications
Faits saillants :
Créés en 1996, les prix de reconnaissance Essor sont remis annuellement par le ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur et le ministère de la Culture et des Communications, en collaboration avec les partenaires suivants : BMO Groupe financier ainsi que Télé-Québec et la Fabrique culturelle.
Liens connexes :
Pour plus d'information sur les projets lauréats ainsi que sur les prix de reconnaissance Essor :
www.education.gouv.qc.ca/enseignants/dossiers/culture-education/prix-de-reconnaissance-essor/
Pour 2018-2019, le montant accordé pour la masse salariale d'un conseil[1]
· Cs avec moins de 25 000 élèves :
o 5 254 $ par commissaire
o 5 219 $ par membre de l'exécutif (maximum 7);
o Le montant le plus élevé entre 16 437 $ et le nombre d'élèves ETP multiplié par 1 $.
· Cs avec plus de 25 000 élèves, mais moins de 50 000 élèves:
o 7 197 $ par commissaire
o 6 962 $ par membre de l'exécutif (maximum 7);
o Le nombre ETP d'élèves multiplié par 1 $.
o Le nombre de circonscriptions électorales scolaires situées à 75 km ou plus de la Cs multiplié par 2 054 $.
· Cs avec plus de 50 000 élèves :
o 14 934 $ par commissaire
o 19 207 $ par membre de l'exécutif (maximum 7);
o Le montant le moins élevé entre 75 337 $ et le nombre ETP d'élèves multiplié par 1 $.
Il y a entre 8 et 18 commissaires par conseil, selon le nombre de circonscriptions, en fonction du nombre d'électeurs de la commission scolaire.
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QUÉBEC, le 20 nov. 2019 /CNW Telbec/ - La députée de Sherbrooke et responsable pour Québec solidaire en matière d'éducation, Christine Labrie, dénonce le caractère brouillon du projet de loi sur les commissions scolaire présenté par le ministre Jean-François Roberge, et le presse de retourner à la table à dessin et de faire preuve d'écoute.
« Le ministre de l'Éducation a de la chance : avec les déboires de son collègue Simon Jolin-Barrette, qui a présenté une réforme de l'immigration tellement brouillon qu'il a été contraint de la retirer, M. Roberge a réussi à échapper à l'attention médiatique et à faire avancer son projet de loi sans trop de vagues. J'ai des petites nouvelles pour le ministre : les problèmes dans son projet de loi sur les commissions scolaires sont aussi graves que ceux de la réforme de son collègue, et ce n'est pas vrai qu'on va le laisser faire », martèle Mme Labrie.
« Magouillage des notes, perte d'autonomie des enseignants, centralisation des pouvoirs au sein du ministère de l'Éducation, possibilités de conflits d'intérêts avec la forme de gouvernance proposée : la liste de tout ce qui pose problème avec ce projet de loi est longue, et ce n'est que la pointe de l'iceberg. On ne parle pas de l'impact de la perte de contre-pouvoirs sur les régions ni même de la ségrégation scolaire qu'elle va accentuer, alors qu'on sait que ça a des effets dévastateurs sur la réussite des élèves et les conditions de travail des enseignants. Le projet de loi de M. Roberge est un gros fourre-tout qui ne va qu'accentuer la déroute de notre système d'éducation », ajoute-t-elle.
La députée solidaire déplore vivement que le gouvernement caquiste ait battu hier une motion de report du projet de loi 40 présentée par les libéraux. Elle appelle le ministre Roberge à écouter les intervenants sur le terrain au lieu de s'obstiner à imposer à tout le monde une réforme brouillon qui a été préparée en vase clos.
« Le gouvernement a fait fausse route en battant cette motion. Il faut consulter les gens sur le terrain, pas leur imposer des réformes écrites sur un coin de table. Beaucoup de groupes n'ont pas pu être entendus en consultations particulières, et ceux qui sont venus ont déploré le manque de temps pour analyser les impacts du projet de loi. À maintes reprises, j'ai rappelé à M. Roberge l'importance de tenir une commission Parent 2.0 afin d'avoir une véritable discussion collective sur l'avenir de notre système d'éducation. La majorité des groupes qu'on a entendus demandent cette consultation. Il est temps que le ministre fasse preuve de leadership pour la mettre sur pied, autrement il nous démontre qu'il n'est pas l'homme de la situation», conclut Christine Labrie.
Consulter le contenu original : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2019/20/c2456.html
Yvan Allaire
Président exécutif du conseil d’administration Institut sur la gouvernance (IGOPP) Professeur émérite UQÀM
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Michel Nadeau
Directeur général
Institut sur la gouvernance (IGOPP) |
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